▪ LES GROUPES / l'étape du choix.

Sur le forum, nous vous proposons en tout et pour tout six groupes. Comme vous pouvez le constater, ceux-ci ont tous un rapport avec la personnalité de votre personnage et ont pour nom des types de cocktails. Vous trouverez ci-dessous la liste complètement et le descriptif de chacun des groupes du forum. Si vous avez la moindre question ou si vous ne savez pas où placer votre personnage, n'hésitez pas à nous contacter.

les différents groupes
# cuba libre, d'abord on se morfond, puis on se bat.
# pina colada, on fuit pour survivre à la déchéance.
# whiskey sour, rien qu'une holà pour te remettre dans le droit chemin.
# daiquiri, broie du noir à n'en plus voir l'avenir.
# mojito, avec le temps, va, tout s'en va.
# bellini, l'art du sourire exquis.

Tout comme Bridget Jones, tu es capable de reprendre ta vie en main et d’affronter les difficultés la tête haute. Mais, la première étape face à l’adversité : se vider une bouteille de vin et un pot de glace, le tout en passant en boucle "all by myself" de Céline Dion.

Face à ces situations déroutantes, celles où tu te sens le plus démuni et face à un mur qui te semble infranchissable, tu passes toujours par deux étapes sur le chemin de la guérison. En tout premier lieu : la lamentation. Un petit temps d’adaptation est nécessaire, celui où tu déprimes et où touches littéralement le fond. Accompagnée par des milliers de regrets et de remords, cette phase est, sans contestation, la plus douloureuse. Tu es capable de tout remettre en question, même les bases pourtant fondamentales qui te caractérisent. Tout n’est qu’incertitude et désarroi. Puis, après ce moment de dépression où tu manques de te faire interner, l’âme d’un guerrier vient posséder ton être. Tu te sens plus remonté que jamais pour foncer dans le tas, causant parfois quelques dommages collatéraux sur ton passage. Mais qu’importe, tu ne te laisseras pas faire sans te battre pour obtenir ce que tu veux et prouver au monde entier que tu ne te laisses pas si facilement abattre.

Tu décides de t’inspirer d’une légende qui a bercé des générations, et ce à travers le monde : la politique de l’autruche. Tout comme ces bêtes majestueuses, tu préfères enfouir ta tête bien profondément dans le sable pour éviter d’affronter ce qui te fait obstacle. C’est bien connu : si je ne te vois pas, tu ne me vois pas non plus.

Quand un événement vient perturber le chemin de vie que tu poursuivais jusqu’alors tranquillement, ça en devient trop troublant et tu te stoppes net. Certaines personnes préféreront tout bonnement examiner le problème afin d’y démêler les nœuds et d’y décortiquer tout un tas de solutions. Toi, ce n’est pas un pied en avant que tu fais, ni même en arrière. C’est plutôt un changement radical de direction, laissant cet obstacle derrière toi et, peut-être, pour quelqu’un d’autre. Parfois même, tu te renfermes sur toi-même, ne parlant à personne : ce qui n’existe pas ne m’atteint pas. Qu’importe la raison, les engagements ou les personnes qui restent, l’affrontement n’est pas pour toi. Tu préfères fuir, parfois même jusqu’à l’autre bout du pays, juste pour ne pas prendre le risque de perdre. Alors tu contournes, esquives, abandonnes. Peu importe ce que tu décides de faire, il faut savoir une chose : le passé finit toujours par nous rattraper et souvent, c’est à ce moment-là que ça devient vraiment compliqué.

Tu es un véritable Torero qui est capable de prendre le taureau par les cornes. Tu affrontes la bête en étant droit devant lui et en le défiant du regard. Il peut bien te charger : tu seras prêt à l'accueillir, si bien que cela en deviendra une danse où tu seras le guide.

Des contrariétés, des embûches, des obstacles : tous sont des parties intégrantes de la vie et tu en as bien conscient. Ils en rythment parfois tes journées et tu es dans l'obligation de composer avec. Tu n'as pas le choix, alors rien ne sert de te lamenter sur ton propre sort. Tu vas plutôt chercher à solutionner tes problèmes, quitte à passer toute ton énergie à trouver un compromis qui sied à tout le monde ou juste à imposer ton point de vue. Pour toi, il est hors de question de baisser les bras, car cela serait un échec bien trop humiliant et décevant pour toi-même. Alors, tu prends part activement au combat, jouant tes cartes les unes après les autres, le tout dans un chemin prédéfini qui amène à ce que tu souhaites. Et même si parfois tu peux te sentir submergé, si les problèmes s'empilent comme un château de cartes : tu finiras par te ressaisir et par trouver celle qui fera tout tomber.

Il est certain que "La vie en rose" d’Edith Piaf n’est vraiment pas ton hymne, bien qu’elle t’est dictée par les autres comme un soulagement à tes maux. Car ce n’est pas le rose, mais bien le noir que tu brasses et bois jusqu’à l’ivresse.

Tu te sens très vite submergé, voire même noyé lorsque tu te retrouves confronté à des événements perturbateurs. Ceux-là mêmes qui viennent entraver la route que tu suivais jusqu’alors tranquillement, sans broncher. C’était un petit cocon, synonyme de sécurité, dans lequel tu étais réfugié, mais qui est, désormais, en train de se déchirer. Déstabilisé, il faut aujourd’hui faire face à ces situations inhabituelles que tu ressens pourtant comme une agression. Alors, instinctivement, tu te replies sur toi-même en désespérant de cette épreuve qui te semble trop insurmontable. Souvent dû à un terrible manque de confiance en soi, tu remets tout en question : les choix qui t’ont mené jusqu’ici, tes capacités, tes talents, ton caractère, les mots que tu as pu prononcer, absolument tout. Trop fragile dans le fond, tu penses que jamais plus tu n’arriveras à remonter la pente. Mais il faut te rendre compte d’une chose : tu es beaucoup plus fort que tu ne le penses. Et alors que tout espoir semble perdu à tes yeux, tu finiras par découvrir en toi des ressources inexploitées et qui finiront par resurgir au moment où tu t’y attends le moins.

Véritable moulin à paroles, tu brasses inlassablement l'air sans en perdre le souffle. Comme un mécanisme qui ne rouille jamais, tu débites tes malheurs à tous tes proches, quitte à les noyer dans tes propres maux juste dans l'espoir d'y voir surgir une solution.

Dès qu'un obstacle dégringole sur ton chemin ou dès que la moindre contrariété survient, tu vas te réfugier instinctivement auprès de tes amis. Ils répondent toujours présents à ton appel et t'offrent spontanément une épaule sur laquelle pleurer. C'est dans ces moments où tu prends conscience que tes amis sont les piliers qui te tiennent debout. Ils sont là pour t'écouter, et ce parfois durant des heures, afin de te consoler et te conseiller sur la bonne marche à suivre. Cependant, ton monologue trouve difficilement une fin et tu recentres bien trop souvent la conversation sur tes problèmes, peinant désormais à voir ceux de tes proches. Même si cela n'est en rien du narcissisme, tu rabâches les mêmes dires sans cesse et sans pour autant prendre les choses en main afin de remédier à la situation. Attends-tu inconsciemment que les autres te donnent la solution ou que ce soit ceux-là même qui combattent à ta place ? Prends garde, même le bureau des pleurs à des horaires d'ouverture.

Tu ne cesses de répéter que tout va bien. Le matin, lorsque tu sors de chez toi, tu enfiles ton masque au large sourire. Parfois, ce masque représente l'état d'humeur en dessous de lui, tandis qu'à d'autres moments, il cache une plaie béante.

Tu donnes l'impression que la vie te sourit, que tu mènes une belle existence. Le cliché même de la personne qui gère tous les aspects de sa vie et qui affiche un minois souriant, voire solaire. Tu prends les choses comme elles viennent et chaque moment finira gravé dans ta mémoire. Tu vis en profitant au maximum et si, un jour, tu venais à tomber, tu préfères en rire qu’en pleurer. Parfois c’est effectivement le cas et tu le dois à la chance, au fait d’être au bon endroit au bon moment ou encore à certaines opportunités offertes par tes proches et que tu as su saisir. Peut-être es-tu simplement un éternel optimiste ? Cela dit, d’autres ne proposent que cette apparence aux autres, cachant le désastre de leur vie, sans doute pour répondre à leur souhait le plus cher : être le plus parfaits possible. Pour ces personnes, lorsque l’orage vient à gronder dehors, ils font mine d’admirer un spectacle magnifique venant illuminer leur vie alors qu’en réalité, le soir dans leur lit, ils sont désemparés et morts de trouille.