|
| Nash Youngje me morfond, puis je me bats. Messages : 153
pseudo : sweety, ge
faceclaim : tom ellis blood eagle
multinicks : a. blake (rosende)
âge : Tu vieillis de plus en plus mais tu tente de ne pas y penser trop souvent, afin d'éviter les soudains crises, comme plusieurs disent. Après tout, âgé de 35 ans, la quarantaine est proche.
occupation : Éditeur au main d'argent. Tout ce que tu touche, que tu publie s'avère devenir populaire et reconnu par la population.
statut civil : Tourmenté. Perturbé. Tu ne sais quoi penser. Tu ne sais quoi faire. Elle est si belle et pourtant, si hors d'atteinte. Puis, la mort de ta femme, les responsabilité paternel...
disponibilités rp : 6/6
intervention pnj : j'accepte les interventions.
| i need to speak | bellaria {} Mar 26 Fév 2019 - 22:14 |
| i need to speak the ugly truth Le temps a passé. Tes idées sont un peu plus claires chaque jour, te permettant de comprendre ce que tu désire vraiment. Comprendre ce que tu mérite. Tu reste encore dans l’inconnu sur le plan sentimentale, ne pouvant comprendre pourquoi tu ressens encore quelque chose pour lui. Après tout ce temps, après tout ce que vous avez traversé. Mais surtout, après tout ce que tu as compris. Cependant, il reste l’homme auprès de qui tu as vécu les plus belles et les plus nombreuses aventures de ton existence. Dont le déménagement ici, à Montréal. Sans lui, tu serais encore une américaine parmi tant d’autre à New-York. Pour cela, tu lui seras éternellement reconnaissante. Il t’a permi de connaître un monde nouveau. Il t’a permi de faire des rencontres que tu n’aurais jamais cru possible. Principalement celle de Bella. Cette jolie blonde pour qui te ressens quelque chose d’incompréhensible, d’inconnu. Tu sais que, au sein de votre relation, il y a beaucoup de flirt, beaucoup de sous-entendu. Mais, il n’a jamais rien eu entre vous, de manière officielle. Outre un soir, il y a un certain temps. Soir qui a été effacé de vos mémoires respectives, garder sous silence. Te prouvant que tu pouvais lui faire confiance, que tu pouvais lui demander de garder un secret sans problème. Ce qui s’avère être rare de nos jours. Peut-être est-ce pour cela que tu apprécie autant sa compagnie. Peut-être est-ce pour cela que tu sais lui faire confiance comme à personne d’autre. Cependant, ce n’est pas la réponse à tout, au contraire. Tu reste sans réponse face à l’effet qu’elle provoque en toi. Ces palpitations qui prenne possession de ton coeur. Cette respiration qui s’accélère, qui ralentit pour accélérer de nouveau. Ces tremblements qui prenne le contrôle de tes mains, parfois même de tes jambes. Tu ne saurais l’expliquer, mais elle t’envoûte. Un jour, peut-être, parviendras-tu à comprendre pourquoi. D’ici là, tu espère pouvoir continuer de la voir, de discuter avec elle. Surtout, de poursuivre ce jeu quelque peu malsain entre vous. Tu aimes sentir un désir, une tension entre vous deux. Encore une fois, tu ne saurais expliquer pourquoi. Il s’avère que c’est ainsi. Peut-être devrais-tu en parler avec quelqu’un d’autre, afin de comprendre un peu plus. Toutefois, elle s’avère être la personne en qui tu as le plus confiance. Tu ne te vois pas raconter ta vie à tout le monde, et ce, dans le simple objectif d’obtenir quelques réponses. Au-lieu de cela, tu préfère rester dans l’inconnu, laissant libre court à ton imagination. Ce qui s’avère de plus en plus difficile avec cette grossesse qui évolue, qu’elle ignore, à ton grand malheur. Tu n’as pas été capable de lui en parler au début, étant incertaine de l’avenir de ce petit être. Mais, une partie de toi a été incapable de lui dire adieu. Que cela provienne de Camille, ou non. Reste que c’est un petit être humain à l’intérieur de ton ventre. Même à seulement quelques semaines de grossesse. Stade que tu as dépassée maintenant, ayant franchit le cap des cinq mois il n’y a pas si longtemps. Tu allais à tous les rendez-vous seule, comme l’indépendante que tu cherche à être. Tu affronte tout dans la solitude. Personne ne peut critiquer ou remettre en question tes choix, ce qui s’avère être un soulagement immense. Toutefois, tu ressens un vide à l’intérieur. Tu ressens un besoin de partager ces moments avec quelqu’un. Tu n’es pas encore prête à affronter ton ancien petit ami, alors tu choisi Bella. Encore une fois, elle passe devant les autres personnes de ton entourage. Elle l’ignore, mais tu fais souvent ce choix. Elle, et personne d’autre. Tu lui envoie donc un petit message texte, l’invitant à venir te rejoindre au salon de thé près de chez elle, afin de discuter. Tu aimais bien cet endroit. Calme, serein et chaleureux. L’endroit parfait pour discuter avec cette femme si particulière. Mais, encore plus, pour l’attendre assise sur une chaise. Ce qui pourra limiter l’impact de la nouvelle. Ou du moins, te permettre de le lui dire avant qu’elle ne voit une différence sur ton corps. Tu t’empresse donc de traverser les rues pour atteindre cet endroit, espérant arriver avant elle. Ce qui est le cas, à ton plus grand bonheur. Tu prends donc place à l’une des tables disponible, reculer mais facile à voir. Ainsi, elle ne va pas chercher trop longtemps lorsqu’elle va arriver. Comme toujours, elle arrive juste à l’heure. Tes lèvres affichent un large sourire alors que tu lève une main pour lui faire signe de te rejoindre. Discrètement, tu te lève légèrement pour la saluer convenablement. “Salut ma belle!” Dis-tu, déposant un rapide baiser sur sa joue. Tu t’empresse de reprendre place, refusant qu’elle ne pose un regard sur toi et ton ventre qui grossit de plus en plus. “Je suis si contente que tu es le temps de venir discuter un peu, ça me manquait…” Lui avoue-tu, tout en lui adressant un tendre sourire. |
|
| Re: i need to speak | bellaria {} Mer 27 Fév 2019 - 21:49 |
| i need to speak NO PAIN. NO GAINDurant des années Isabella avait rêvé d’une vie de riche, une vie luxueuse remplie de privilège d’argent et tout ce qui pouvait aller avec ce statut social. Aujourd’hui, elle a tout ce qu’elle souhaite, un bel espace de vie, un métier qui lui plaît et de l’argent. L’enfant qui est en elle est comblé, mais elle d’aujourd’hui ? Elle est vide. Sa vie est vide. Maintenant qu’elle a atteint le sommet de ses exigences, elle ne sait pas vers quoi se tourner, vers quoi se lancer de nouveaux défis. Elle rêvait de luxe et de dormir dans des draps de satin et c’est chose faite. Elle s’imaginait porter des robes de couturiers et à cela aussi elle peut cocher la case parce qu’elle peut se le permettre. Elle a tout exactement tout ce qu’elle souhaite et pourtant le bonheur n’est pas vraiment présent dans sa vie. Pourquoi ? Parce que sa vie est faite de solitude, une solitude lourde et pesante. Depuis qu’elle a fait le choix de devenir une escorte girl à ses dix-huit ans, la plupart de ses amis et membres de sa famille lui ont tourné le dos et ne lui adresse à présent plus la parole ou à demi-mots et ce n’est pas ce qui ravit la jolie blonde. Pourtant, elle n’est pas à plaindre, à la fin elle a choisi elle-même cette solitude en se disant tout simplement ce bon vieux dicton « il vaut mieux être seule que mal accompagnée » et dans un sens, c’est bien vrai et dans l’autre elle s’enferme dans une longue et pénible bulle, un serpent qui se mord la queue. Bella n’est pas du genre à se morfondre et elle déteste ça d’ailleurs, pour elle tout problème a une solution, il faut juste la trouver et prendre le temps pour ça, mais broyer du noir pendant six mois, c’est incompréhensible pour cette blonde. Mais personne n’est parfait dans ce monde et pour Bella il y a bien un problème qui n’a jamais trouvé sa solution et pourtant, ce n’est pas faute de chercher des réponses ou même des semblants de réponses qui pourraient l’aiguiller sur une éventuelle solution, non rien. Après tout ce temps la jeune femme était toujours perdu dans ce qu’elle pouvait ressentir pour Victoria, de l’amour ? Elle n’en savait rien, une attirance, c’était très clair elle pouvait écrire un gros « oui » sur cette réponse-là ! Victoria l’attirait physiquement encore plus, même si elle faisait tout pour contenir son corps et tout ce qu’il pouvait ressentir quand elle était présente Victoria l’attirait aussi mentalement, sa façon d’être et d’être avec elle. Elle est envoûtante, gracieuse et occupe une partie de ses pensées le jour et la nuit, ne sachant absolument pas quoi faire pour l’enlever ou encore trouver des réponses à toutes ses questions qu’elle pouvait se poser. Chaque fois que Bella essaie de la sortir de ses pensées, c’est de pire en pire, elle y pense pendant des heures. Ses lèvres brûle encore d’envie de rejoindre les siennes une nouvelle fois, une nouvelle fois sentir la douceur de sa bouche contre les siennes pour se laisser encore un peu plus jouer avec le feu et finir par s’y brûler. Isabella voulait sentir à nouveau cette femme près d’elle, contre elle en perdre complètement la tête et s’enivrer de son parfum si accrocheur et puis entêtant. Elle jouait à un jeu, un jeu aussi dangereux que plaisant, le flirt un flirt discret ou appuyé peut importer tout était bon pour rester vers elle après tout. Tel Icare elle finira par se brûler les ailes à vouloir voler trop près du soleil. Bella savait qu’elle allait la revoir dans pas longtemps, Victoria l’avait invitée à ce salon de thé pour discuter, Bella ressentit directement une sortie de boule au ventre, comme si elle stressait de ce qu’elle allait pouvoir lui dire, lui annoncer quelque chose ? S’était-elle remise avec son ex petit ami, Bella voulait son bonheur avant tout, avant le sien, mais secrètement elle souhaitait que ça ne se produise jamais, elle n’avait pas envie de la voir partir, s’éloigner à nouveau. Isabella chassa ses idées de son esprit et termina donc de se préparer pour ce rendez-vous et être à l’heure n’ayant pas envie de la faire patienter alors qu’avec d’autres, c’était le cadet de ses soucis, mais elle était différente, spéciale. Un long manteau noir, des bottes qui remontaient le long de ses jambes elle faisait claquer ses talons le long de la route, préférant prendre l'air plutôt que de s'enfermer dans une voiture. Laisser encore un peu de distance, se préparer à toutes les éventualités construire des remparts de dernière minutes autour d’elle qui ne tiendront certainement pas très longtemps puisque ceux-là n’auront aucunes fondations. Elle ne sait même pas de quoi elle essaie de se protéger, elle n’a jamais souffert avec des sentiments, mais ça peut être différent cette fois. Isabella entra finalement à l’intérieur une main glissée dans ses cheveux qu’elle remettait machinalement en place, balayant la salle des yeux avant d’afficher un sourire du coin des lèvres en la voyant, la rejoignant. “ Salut ma belle!” Bella déposa ses lèvres contre sa joue pour une bise qui se voulait amical avant de rapidement, plus rapidement que ce qu'elle n'aurait voulu se redresser pour mettre un peu de distance. " Bonjour !" Elle s'assit en face d'elle après avoir retirer son manteau, lui souriant avec douceur et un semblant de tendresse en l'écoutant avec attention. “ Je suis si contente que tu es le temps de venir discuter un peu, ça me manquait…” L’écoutant toujours la blonde fit un léger signe de main à l’une des serveuses pour passer commande, posant à nouveau en suite son regard sur Victoria. " ça me manquait aussi ! et tu sais que pour toi, je trouverais toujours du temps à t'accorder." Elle s’entait déjà ses barrières s’effriter, sa présence la rendait euphorique à l’intérieur et l’avoir là en face d’elle aurait pu la faire rougir ou encore bégayer si elle avait quinze ans, maintenant avec le temps ça là rend presque froide, mais c’est sans doute mieux de ne rien montrer. " Tu as déjà commandé quelque chose ?" Bella détourna son regard sur la serveuse commandant son thé qu’elle avait l’habitude de boire ici qui était la spécialité de la maison, mais n’avait jamais vraiment su de quoi il était composé, mais ça n’allait pas vraiment changer sa vie après tout de l’ignorer. " De quoi voulais-tu me parler ?" |
| Nash Youngje me morfond, puis je me bats. Messages : 153
pseudo : sweety, ge
faceclaim : tom ellis blood eagle
multinicks : a. blake (rosende)
âge : Tu vieillis de plus en plus mais tu tente de ne pas y penser trop souvent, afin d'éviter les soudains crises, comme plusieurs disent. Après tout, âgé de 35 ans, la quarantaine est proche.
occupation : Éditeur au main d'argent. Tout ce que tu touche, que tu publie s'avère devenir populaire et reconnu par la population.
statut civil : Tourmenté. Perturbé. Tu ne sais quoi penser. Tu ne sais quoi faire. Elle est si belle et pourtant, si hors d'atteinte. Puis, la mort de ta femme, les responsabilité paternel...
disponibilités rp : 6/6
intervention pnj : j'accepte les interventions.
| Re: i need to speak | bellaria |
| i need to speak the ugly truthIl y a différente dicton, différent proverbe qui hante l’univers tout entier. Parmi ceux-ci, il y en a certain que tu crois, certain que tu trouve complètement fou. Tu tente de faire la part des choses. Tu tente de trouver une certaine logique derrière tout cela. Sinon, tu deviendrais folle à ton tour. S’il fallait que tu crois tout ce que tu lis, tout ce que tu entends. Avec la quantité de mensonge qui flotte dans l’air, tu ne peux faire autrement. Pour ton bien, pour le bien de l’être à l’intérieur de ton ventre. Peu importe ce que disent les autres. Peu importe ce que pensent les autres. Tu dois penser à toi, d’abord et avant tout. Chose dont tu n’avais guère l’habitude. Depuis le jour de ta naissance, tu n’as jamais été vraiment égoïste ou égocentrique. Au contraire. Tu as toujours eu une pensée pour autrui, positive ou négative. Tu étais prête à venir en aide à ceux dans le besoin. Tu étais prête à offrir ce que tu possédais pour venir en aide à d’autre. Ce n’était guère l’attitude préférée de tes parents, mais cette charité a fait de toi une jeune femme pleine de bonté et d’honnêteté. Ce passé a construit la jeune femme que tu es aujourd’hui. Tu n’es pas parfaite, loin de là. Personne ne peut réellement l’être, selon toi. Du moins, tout le monde sauf une seule personne. La seule et unique personne qui hante ton esprit depuis déjà bien trop longtemps. Tu aimerais pouvoir dire qu’il s’agit de ton ancien petit ami qui te tourmente depuis votre séparation, que tu regrette ton départ soudain. Mais, il n’en est rien. Du moins, ce n’est pas à lui que tu pense lorsqu’il est mention de perfection. Tu pense à une jeune femme. Ravissante, envoûtante. Tu ne pourrais expliquer ni même justifier pourquoi, mais cette personne possède une emprise sur toi, sur ton esprit… Une emprise que tu ne peux comprendre. Non, tu ne fais pas la moindre chose qu’elle demande. Toutefois, tu es toujours présente pour elle. Tout comme l’inverse. C’est vers elle que tu as tournée ta tête, quand tu avais besoin de soutien. C’est vers elle que tu te confies quand tu en ressens le besoin. C’est vers elle que tu te dirige pour te changer les idées. C’est vers elle que tu iras, peu importe la raison, l’explication ou la justification possible. Elle et personne d’autre. Aussi futile que cela puisse être, sa présence au sein de ton existence est indispensable. Tu ne peux imaginer la vie de Victoria sans Isabella à l’intérieur. Tu te sentirais vide, dépourvu de bonheur. Tu ne pourrais avancer sans chercher à comprendre ce que tu fais. Elle est la source de joie, de douceur, de confiance dont tu as toujours eu besoin. Ce qui te paraît étrange, étant donné que tu n’as jamais vraiment envisagée de partager ta vie auprès d’une jeune femme. Chose que tu n’envisage pas réellement désormais. Enfin, tu crois. Tu l’ignores en fait. Si elle venait à s’approcher, à glisser ces mains autour de ton visage et approcher ces lèvres des tiennes, tu la laisserais faire. Comme la première fois. Tu ne dirais pas un mot et tu profiterais. À la seule différence que, maintenant, tu es célibataire. Alors, s’il y a place à l’aventure, il n’y a rien qui peut vous arrêter. Aucun remord possible, aucune retenue envisageable. Étrangement, le simple fait de penser à cela accélère les battements de ton coeur. Surtout que tu vas à sa rencontre, à ce salon de thé près de chez elle. Lieu de rendez-vous choisi par tes soins, étant donné que tu souhaitais la voir pour discuter. Il fallait que tu lui avoue pour ta grossesse. Il fallait que tu sois honnête avec elle. Honnête comme tu l’as toujours été. Et ce, même si tu te sens nerveuse, voir même inquiète à l’idée de lui dire tout cela. Tu crains sa réaction. Tu crains que cela ne la repousse, ne l’éloigne de toi. Tandis que tu as besoin d’elle, que tu veux d’elle. Tandis que tu ressens toutes ces choses à son égard, dont tu ne peux pas expliquer la moitié. Elle est le mystère de ta vie, mais aussi, l’indispensable réalité. Telle l’air que tu respire, tu as besoin d’elle. Tu ne peux qu’être heureuse quand tu vois son visage franchir la porte de la bâtisse et venir prendre place près de toi. Ce fût un accueil rapide que tu lui offris, à contre coeur. Toi qui craignais que ton ventre ne trahisse le sujet de la journée. La seule chose que tu souhaitais, être la première à le lui dire. Qu’elle n’est pas entendu de rumeur de quelqu’un ou qu’elle n’est pas remarquée elle-même les changements physiques dont tu es victime. “Non, je t’attendais pour commander!” Lui réponds-tu, sourire aux lèvres alors que la serveuse est auprès de vous. Laissant d’abord ta compagne terminer sa commande, tu souris ensuite à la serveuse, demandant un thé commun à saveur de petits fruits, au taux de caféine très faible. L’un des désavantage de la grossesse, tu dois faire attention à ce que tu consommes. Ce qui, en réalité, n’est pas plus mal. La serveuse s’éloigne, tu reporte ton attention vers Isabella. “T’es trop gentille Bella, mais ça me flatte… Je suis contente de savoir que je peux toujours compter sur toi.” À ces mots, tu glisse une main en sa direction jusqu’à attraper la sienne que tu caresse quelques secondes, plongeant ton regard dans le sien. Tu as ce sourire aux lèvres. Ce sourire sincère mais également charmeur. Tu ne peux faire autrement avec elle. Sa simple présence te rends heureuse comme tu ne peux le croire. Tirée de ton admiration par la voix de la belle créature qui retentit à nouveau, tu reste immobile, détournant légèrement ton regard. “Bien… Je t’avoue que c’est un peu délicat comme sujet.” Commences-tu. Tu attends quelques instants avant de poursuivre, étant donné que la serveuse revient avec vos commandes. De nouveau, tu lui souris avant de reprendre ta place, quittant ainsi la main de la belle. “Tu te souviens l’une des dernières fois que l’on s’est vu, comment je devais souvent aller aux toilettes, comment certaines odeurs venaient à m’insupporter plus que d’autre…” Tu es incapable de lui dire clairement, sans une petite introduction d’abord. Si elle comprends, si elle devine avec ces petits indices, tu vas déjà moins te sentir mal. Tu vas être celle lui ayant parlée la première. Ce qui est le plus important à tes yeux. “Tu… Tu sais ce que ça veut dire Isabella?” Demandes-tu, dans un chuchotement, le regard fuyant. La peur prends littéralement possession de ton être tout entier. |
|
| Re: i need to speak | bellaria {} Lun 11 Mar 2019 - 22:31 |
| i need to speak NO PAIN. NO GAIN« Tu sais que tu peux toujours compter sur moi, tu es même l’une des rares personnes pour qui je suis toujours disponible, tu le sais » Elle luit affiche un sourire rassurant, lui montrant qu’elle l’écoute avec attention et sans jugement. C’était une chose compliqué pour la blonde d’être une oreille attentive et surtout de ne pas juger les mots ou les situations des gens, mais Victoria est différente, elle fait que Isabella est différente dans la société, elle devient douce et gentille. Un trait de caractère que la blonde ne voyait que très rarement puisque le reste du temps, elle était froide et distante avec tous ceux qui l’entouraient et l’approchait d’un peu trop près. Elle ne savait pas pourquoi elle avait une telle emprise sur elle, ou plutôt elle ne voulait pas se l’avouer réellement. Elle était bien trop cachée derrière cette muraille de chine qu’elle s’était construite devant elle, bien trop camouflée dans cette grisaille qu’elle-même s’en voulait presque d’être comme ça. Isabella avait légèrement divagué dans ses pensées, elle secoua légèrement la tête pour revenir à l’ instant où Victoria posait sa main sur la sienne, Bella eu presque un mouvement de recule imperceptible, mais comme si ce contact l’avait brulé. « Délicat ? Qu-est-ce qu’il y a Victoria ? Tu as des ennuis ? » Bella baissa son regard sur sa main, le contact de la sienne lui manquait déjà, son touché, sa caresse lui laissant déjà un vide que la blonde s’empressa de combler à coup de briques et de ciment en se redressant sur ce fauteuil, gardant un visage fermé pour ne pas montrer la tempête qu’il y avait à l’intérieur d’elle. « Euh… Oui je m’en souviens, mais je.. » Isabella baissa immédiatement les yeux sur le ventre de Victoria. Enceinte ? Elle n’a pas besoin qu’elle ait plus loin dans ses explications, la blonde avait parfaitement compris de quoi elle parlait avec ses symptômes. Isabella s’était complètement refermée sur elle-même dès qu’elle eut compris, son visage n’affichait aucun sentiment, sa gorge légèrement serrée et ses yeux fixaient toujours ce ventre où un être humain était en train de grandir à l’intérieur. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle était en train de ressentir, de la joie pour elle, de la tristesse, de la jalousie ? Peut-être un peu de tout mélanger, mais ce qu’elle était sûr c’est que ça faisait mal, très mal et qu’elle n’était pas habituée à ressentir toutes ces choses en même temps, au même moment, elle aurait pu exploser là dans ce salon de thé. Elle savait qu’elle devait dire quelques choses, utiliser sa bouche pour prononcer des mots, mais quoi ? Qu’elle était heureuse pour elle, des félicitations ? Elle ne savait que faire et quoi dire, ce genre de situation était une totale inconnue pour elle et elle qui normalement avait la langue bien pendue pour parler s’était fait couper la langue par cette nouvelle. Une nouvelle qui était une claque, un coup de poing, un coup de massue qui avait complètement perdue cette blonde d’apparence si solide. Isabella les yeux dans le vide, dans ce fauteuil imaginait plein de scénarios en quelques fractions de secondes, se lever et partir, couper les ponts ? C’était trop difficile, elle ne voyait pas sa vie sans avoir victoria dans celle-ci. Rester et mentir ? C’était sans doute la meilleure solution pour l’instant. Et si ce bébé allait tout changer et si cet enfant allait les éloigner. « Je… » Un son, un murmure c’était échappé de la bouche de la blonde si sûre d’elle d’habitude. « Est-ce-que c’est une bonne nouvelle ? » Et puis avant de penser à elle, elle eut un éclair. Est-ce-que Victoria était heureuse, après tout si elle l’était, Bella ferait avec cet enfant et sera heureuse pour elle. « Je veux dire, est-ce-que tu… tu veux ce bébé ? » Bella avait rapidement calculé dans sa tête que Victoria avait dépassé le stade d’un potentiel avortement, était-elle déjà au courant qu’elle était enceinte ou alors a-t-elle vraiment décidé de garder cet enfant. « Enfin ! Si tu es heureuse Victoria, alors je le suis aussi pour toi. » Le mensonge aura été finalement sa solution miracle, quoi que peut-être trop tardif vu le silence précèdent de la blonde, elle ne sait pas si ce mensonge passera inaperçu. « Je suis juste un peu surprise à vrai dire… Je ne m’attendais pas du tout à cette nouvelle. » Non ça c’est bien la dernière chose au monde à laquelle elle aurait pu penser. Victoria enceinte, elle n’en revenait pas et resté légèrement sous le choc de cette nouvelle dévoilée à demi-mots. Isabella attrapa sa tasse de thé sur la table devant elle, réchauffant ses mains et son corps en entier en buvant une gorgée encore chaude. Elle ferma les yeux un cours instant, prenant une grande bouffée d’oxygène avant d’expirer et de la regarder à nouveau. « Et le père… ? Il est au courant de cette incroyable nouvelle ? » Bella se battu intérieurement contre elle pour ne faire ressentir aucun pic ni aucune ironie dans ses mots, se mettant intérieurement des claques pour être la plus sérieuse possible. « Tu sais que je suis là pour toi, et que si tu as besoin d’aide ma porte est grande ouverte pour toi et… Ce bébé. » Elle avait encore du mal avec ce mot, du mal avec la situation et semblait étouffer à l’intérieur de ce salon de thé comme si elle n’avait plus respiré depuis les dix dernières années. Elle avait peur de voir sa ravissante Victoria lui filer entre les doigts encore une fois, encore une fois de devoir faire comme si rien n’avait eu lieu, comme s'il ne se passait strictement rien entre elles, ou alors qu’ elle se faisait complètement des films depuis tout ce temps ? Non, c’était impossible, ce fameux baiser elle lui l’avait rendu, elles l’avaient échangé malgré l’alcool et depuis ce temps, les petits gestes, les regards, il était impossible qu’elle ait imaginé tout cela et ça lui ferait beaucoup trop de mal. « Je ne souhaite que ton bonheur tu le sais bien. » |
| Nash Youngje me morfond, puis je me bats. Messages : 153
pseudo : sweety, ge
faceclaim : tom ellis blood eagle
multinicks : a. blake (rosende)
âge : Tu vieillis de plus en plus mais tu tente de ne pas y penser trop souvent, afin d'éviter les soudains crises, comme plusieurs disent. Après tout, âgé de 35 ans, la quarantaine est proche.
occupation : Éditeur au main d'argent. Tout ce que tu touche, que tu publie s'avère devenir populaire et reconnu par la population.
statut civil : Tourmenté. Perturbé. Tu ne sais quoi penser. Tu ne sais quoi faire. Elle est si belle et pourtant, si hors d'atteinte. Puis, la mort de ta femme, les responsabilité paternel...
disponibilités rp : 6/6
intervention pnj : j'accepte les interventions.
| Re: i need to speak | bellaria {} Mer 13 Mar 2019 - 15:10 |
| i need to speak the ugly truthElle est si belle. Elle est si charmante. Elle a conquis ton coeur, ton âme, ton esprit… Et ce, sans que tu ne puisse rien faire pour l’empêcher. Elle t’enivre plus que quiconque en ce monde, tu ne peux rien faire contre cela. Tu peux juste tenter de garder ton regard loin du sien. De garder ton corps loin du sien. Cependant, il s’avère que tu as de la difficulté à effectuer ces deux choses, comme plusieurs autres lorsqu’elle est concernée. Sa compagnie, tu ne pourrais t’en passer. Ces conseils, ces rires, ces moments de réconforts qu’elle t’offre. Tu en as besoin. Tu en es devenue accro, d’une certaine manière. Peut-être est-ce pour cela que tu ne peux cesser de penser à elle. Peut-être est-ce pour cela qu’elle hante constamment ton esprit, que cela soit le jour comme la nuit. Peut-être est-ce pour cela que tu es gênée à l’idée de lui avouer ce secret que tu porte depuis plusieurs mois. Tu sais pourtant que tu ne devrais pas. Elle est fort probablement la dernière personne en ce monde qui pourrait te juger, te critiquer ou t’abandonner à ton triste sort. Tu sais qu’elle sera présente, qu’elle fera l’effort de te supporter si c’est ce que tu as besoin. Tu le sais car tu l’as connais bien plus qu’elle ne peut le croire. Avec le temps, tu as appris à connaître ces réactions, ces pensées et ces habitudes. Comme ce lieu. Tu savais qu’elle aimait bien y venir à l’occasion, commandant toujours la même boisson particulière. Tu sais aussi qu’elle prétend n’avoir jamais aimée personne au sein de son existence, qu’elle prétend ignorer ce que peut être l’amour. Toi, tu sais que ce n’est pas vrai. Enfin, tu ose le croire. À tes yeux, Isabella est si parfaite, tu ne peux croire qu’elle ne possède pas un coeur tendre qui ne demande rien outre de l’amour, de l’affection et de la tendresse. Tu en es convaincue. Toutefois, ce n’est guère le sujet du jour. Bien au contraire. Aujourd’hui, il s’agit de trouver les mots pour lui annoncer que tu es enceinte. Et ce, depuis un peu plus de cinq mois. Tu ignores comment le faire ni quels mots utiliser pour que la nouvelle s’intègre facilement à l’esprit de ton interlocutrice. Mais, tu n’as guère le choix. Tu as commencée la conversation, tu l’as invitée pour discuter. Maintenant, il est temps que tu passes à l’action. Il est temps que tu prennes ton courage en main et que tu lui parle aussi sincèrement, aussi honnêtement que tu l’as toujours fait depuis que tu l’as connais. C’est ainsi. Tu lui fais confiance. Confiance comme tu n’as jamais eu en personne auparavant. Peu importe la situation. Peu importe le sujet. Tu sais que, si nécessaire, elle va garder le secret. Tu sais que, si nécessaire, elle emportera ces secrets avec elle, sans jamais en parler. Alors, pourquoi craindre les prochaines secondes. Pourquoi craindre de lui avouer ce terrible secret que tu porte, ce fardeau qui pèse sur tes épaules. Tu te lance, doucement, précisant que c’est un sujet délicat qui va suivre. Du moins, pour toi, ce l’est. Tu n’as pas l’habitude de raconter cette histoire, encore moins avec les détails. Il n’y a que le médecin s’occupant de ton suivi qui connaît tout de toi, de cette grossesse et du passé avec Camille. Tandis que tu introduis l’information doucement, cherchant à rafraîchir la mémoire de la belle blonde devant toi, tu vois son regard descendre jusqu’à ton ventre. Tu vois qu’elle comprends de quoi il s’agit. Tu savais que cela ne serait pas long avant qu’elle comprenne, avant qu’elle saisisse de quoi tu parlais. Tu te sens gênée, tu te sens malhonnête envers elle. Durant plusieurs secondes, tu te retrouve incapable de soutenir son regard. Tu fuis. Tu aurais envie de te lever et prendre la fuite, laissant derrière la personne la plus importante à tes yeux. Tu es ainsi, incapable de confronter les problèmes, ou du moins, pas dans l’immédiat. Tu fais pourtant un effort. Tout comme la ravissante créature devant toi. Tu le vois, la nouvelle ne l’enchante guère. Ce que tu comprends parfaitement. “Une bonne nouvelle… Je sais pas, j’arrive pas à savoir si c’est bon ou pas. Je sais simplement que c’est la dernière trace de ce que j’ai vécue avec Camille…” À ces mots, tu cherches à retrouver son regard. Quand bien même tu sais que cela risque d’être difficile, tu veux la regarder droit dans les yeux. Tu veux voir son visage d’ange devant toi. “Honnêtement… je ne sais pas encore si j’en veux de ce bébé ou non… Je sais juste que le temps passe et que je dois y réfléchir sérieusement. Mais, tu sais… Moi et les décisions sérieuses.” Dis-tu, avant de laisser un petit rire franchir tes lèvres. Une manière comme une autre pour toi de détendre l’atmosphère, de retrouver une once de calme, de tranquillité face à cette situation particulière. “Camille est au courant. Mais je crois qu’il n’y croit pas vraiment, je n’ai eu aucune nouvelle de lui depuis.” De nouveau, tu baisse un peu les yeux. Tu aurais bien aimer qu’il te parle, qu’il t’aide à prendre une décision. Après tout, il est concerné également. Ce bébé que tu porte dans ton ventre, il est le sien aussi. Tu ne l’as pas fais seule, bien au contraire. Puis, tu tombe silencieuse. Tu écoute attentivement les paroles de ton interlocutrice, laissant un doux et délicat sourire prendre place sur tes lèvres. Tandis que ton regard s’embrouille légèrement. Tu n’es pas émotive en temps normale, mais depuis que les hormones ont prit le contrôle de ton être, tu ne parviens plus à tout contrôler à la perfection. Levant un court instant les yeux au ciel, cherchant à empêcher la moindre petite larme de ruisseler sur ta joue, tu laisse un soupir résonner. Ton regard reprends vite son emplacement précédent, soit celui de la jeune femme devant toi. Tu approches tes mains de celle d’Isabella, que tu attrapes avec une douceur surprenante. “Je te remercie d’être là Bella, tu es bien la seule encore capable de tenir ce genre de promesse. Et pour ça, je te serai éternellement reconnaissante!” Tu es sincère. Comme toujours. Elle est la seule et unique personne en ce bas monde capable de tenir parole, capable de prouver que les gens ne sont pas tous des imbéciles. “Mais… Je peux te demander encore quelque chose? Je sais, je dois vraiment abuser de toi en ce moment et j’en suis vraiment désolé…” Dis-tu, t’accrochant un peu plus à la sa main. Toutefois, ce geste te fît perdre le contrôle de tes émotions. Il y eu une petite larme rebelle qui coula sur ta joue, sans que tu ne puisse rien y faire. “Si… Si jamais je reste seule dans tout ça… Tu voudrais bien m’aider avec les décisions importantes?” Tu poses sur elle un regard suppliant. Tu sais que ce n’est pas du tout à elle de prendre ce rôle. Tu le sais mais tu lui demande quand même. “Enfin… Non, laisse tomber. Je ne peux pas te demander ça, c’est beaucoup trop.” Tu secoue alors la tête négativement, prenant conscience de l’abus dont tu fais preuve. Tu regrette, amèrement, tes précédentes paroles… |
|
| Re: i need to speak | bellaria {} Ven 15 Mar 2019 - 23:17 |
| i need to speak NO PAIN. NO GAINIsabella était un peu perdue dans ses pensées, une nouvelle qu’elle n’aurait pas cru entendre avant plusieurs années, peut-être même jamais d’ailleurs on ne sait jamais vraiment. Mais là elle regardait toujours le ventre de son amie, l’imaginant avec ce bébé quelques mois plus tard avec cet enfant dans les bras accompagné du père. Le père, Bella avait envie de se gifler de penser encore à elle d’une autre manière qu’une amie alors qu’elle était enceinte et qu’il y avait forcément un père dans l’histoire, Victoria n’était pas enceinte du divin enfant. Elle ne pouvait s’empêcher d’imaginer le futur qui pourrait se produire avec ce bébé, un futur ou égoïstement elle ne le voudrait pas ou elle n’apparaitrait pas comme elle le souhaiterait. Bella essayait de chasser ses idées du mieux possible en essayant de revenir à la discussion présente en voyant son amie reprendre la parole. « Une bonne nouvelle… Je sais pas, j’arrive pas à savoir si c’est bon ou pas. Je sais simplement que c’est la dernière trace de ce que j’ai vécue avec Camille… » Isabella ne savait pas trop comment réagir à ça, un bébé comme souvenirs, dernière trace de ce qu’elle avait vécu avec cette homme, rien que d’y penser elle en avait une boule au ventre. Pas un dégoût envers ce bébé, lui n’avait rien demandé à personne et elle le savait très bien, mais contre cet homme qui avait fait un bébé à cette femme si belle et parfaite. « Et c’est une bonne chose de garder une trace de ta relation avec lui ? » Ne sachant pas trop comment il fallait qu’elle réagisse, elle était un peu perdue. Est-ce qu’il fallait qu’elle soit heureuse pour elle ou alors une mine plus triste, elle n’en savait absolument rien. « Honnêtement… je ne sais pas encore si j’en veux de ce bébé ou non… Je sais juste que le temps passe et que je dois y réfléchir sérieusement. Mais, tu sais… Moi et les décisions sérieuses. » Un léger sourire au coin des lèvres en se redressant un peu, ne savant pas trop quoi faire, presque mal à l’aise de cette situation-là. « C’est une décision importante, tu dois prendre le temps de réfléchir à tout ça et aussi d’avoir l’avis du père, ça reste aussi le concerné dans l’histoire de ce bébé tu sais. » Bella fronce les sourcils en entendant que Victoria n’avait plus de nouvelles de ce Camille et c n’était vraiment pas moment qu’il décide de jouer au mort, c’était plutôt le moment qu’il assume ce qu’il avait fait et qu’il soutienne son ex petite-amie dans ce qui allait complètement chamboulé sa vie si elle décidait de garder ce bébé. « Tu veux que j’ailles lui parler ? Je peux lui remettre les idées en place ça ne me dérange pas du tout ! » Elle n’aimait pas voir son ami dans cet état, de la voir silencieuse et triste alors que d’habitude elle était pleine de vie avec ce si beau sourire sur ses lèvres qui plaisait tant à Isabella. Ses lèvres qu’elle rêvaient d’embrasser à nouveau, même si ce doux rêve était en train de joliment s’envoler avec cette dernière nouvelle. « Je serais toujours là pour toi Victoria, ça changera jamais. » La blonde ne pouvait s’empêcher de balader son regard de ses lèvres à son ventre, maintenant qu’elle savait c’était devenu un automatisme de regarder son ventre qui posait tant de question dans la tête de la blonde, des questions sans réponses et qui n’en auraient d’ailleurs jamais. Elle serrait sa main avec douceur dans la sienne, elle qui n’aimait pas forcément les démonstrations publique que ce soit en amour ou même de l’amitié, mais là c’était différent, une situation que la blonde n’avait encore jamais connu de sa vie. « Tu n’abuse en rien… Demande-moi ce que tu veux… » Isabella releva les yeux sur son visage qu’elle détaillait avec douceur et une pointe de tristesse en voyant une larme couler et dégringoler le long de la joue de son amie. Elle ne put s’empêcher de se pencher vers elle pour essuyer cette goutte d’eau salée avec son pouce, lui donnant en même temps une légère caresse sur son visage avant de revenir à sa place en faisant un léger signe de tête, pour lui dire sans mot qu’elle pouvait parler. “ Si… Si jamais je reste seule dans tout ça… Tu voudrais bien m’aider avec les décisions importantes?” Bella reste un peu surprise, presque bouche bée devant sa question en ne sachant pas trop quoi dire ou faire. Isabella n’était sans doute pas la meilleure personne pour aider dans une situation comme si celle-ci et encore moins avec les décisions importantes qui portait sur la vie d’une personne qui commençait à grandir dans son ventre. Elle entendait son amie revenir sur ses paroles, qu’elle balaya d’un simple geste de la main en secouant de la tête. « Non non… Je… Je serais là pour t’aider et t’écouter pour que tu puisses prendre de bonnes décisions. » Elle ne savait pas vraiment si c’était une bonne idée, mais elle ne pouvait pas l’abandonner dans cette situation et encore moins si le père jouait le mort et qu’il fallait prendre des décisions importantes dans les prochains jours et prochaines semaines. « Je ne suis pas la meilleure, je ne suis pas parfaite pour les décisions, mais je ne veux pas que tu sois seule là-dedans. » Bella vient reprendre la main de son amie dans la sienne, se penchant un peu sur la table qui les séparait sans la quitter des yeux une seule seconde. « C’est promis. » |
| Nash Youngje me morfond, puis je me bats. Messages : 153
pseudo : sweety, ge
faceclaim : tom ellis blood eagle
multinicks : a. blake (rosende)
âge : Tu vieillis de plus en plus mais tu tente de ne pas y penser trop souvent, afin d'éviter les soudains crises, comme plusieurs disent. Après tout, âgé de 35 ans, la quarantaine est proche.
occupation : Éditeur au main d'argent. Tout ce que tu touche, que tu publie s'avère devenir populaire et reconnu par la population.
statut civil : Tourmenté. Perturbé. Tu ne sais quoi penser. Tu ne sais quoi faire. Elle est si belle et pourtant, si hors d'atteinte. Puis, la mort de ta femme, les responsabilité paternel...
disponibilités rp : 6/6
intervention pnj : j'accepte les interventions.
| Re: i need to speak | bellaria {} Mer 3 Avr 2019 - 16:39 |
| i need to speak the ugly truthTu n’étais définitivement pas prête à affronter tous ces changements seule. Tu avais besoin de soutien, tu avais besoin de réconfort. Pourtant, aussi étrange que cela puisse paraître, tu n’envisageais guère retourner auprès de Camille, auprès du père de l’enfant que tu portes en toi. Ce même père dont tu n’as plus la moindre nouvelle après lui avoir annoncée ta grossesse. Ce même père qui joue le mort, qui ne réponds à aucun des messages ou appels que tu lui fais. Peut-être ne mérites-tu pas son pardon, tu peux le comprendre. Mais, il ne s’agit pas de toi ni de lui. Il s’agit d’un bébé, qui grandit à l’intérieur de ton ventre, et dont cet homme est le père. Tu aurais bien besoin qu’il agisse comme tel, ne serait-ce que quelques minutes à l’occasion. Ainsi, tu pourrais discuter avec lui de l’avenir de ce bébé. Tu pourrais discuter avec lui de la meilleure chose à faire. Ce n’est malheureusement pas ton médecin qui pourrait choisir pour toi si tu gardes ce bébé ou si tu le fais adopter. Et, ce n’est pas à Isabella de prendre ce fardeau sur ces épaules. Quand bien même tu as conscience qu’elle serait capable de sacrifier son temps pour toi, qu’elle serait prête à t’épauler et t’aider à traverser cette épreuve, le sourire aux lèvres. Tu n’oserais le lui demander. Ce n’est pas son rôle. Au contraire. Elle est là pour être la plus belle merveille du monde à tes yeux. Elle est là pour te rendre heureuse et comblée que tu n’as jamais pu l’être par le passé. Elle est là pour te faire ressentir une quantité surprenante d’émotions différentes. Elle est le mystère de ta vie. Elle est tout ce dont tu as besoin, mais dont tu es incapable d’obtenir. Tu aimerais qu’elle soit tienne, qu’elle soit la femme qui accepte de partager jour et nuit en ta compagnie. Pourtant, en dépit de toute l’envie que tu ressens, tu t’avères être incapable de le lui dire, de le lui expliquer. Tu reste sans mot. Les seuls mots qui parviennent à franchir tes lèvres sont ceux concernant ta grossesse. Ce sujet si particulier, si délicat que tu aurais préférée éviter. Surtout auprès d’elle. Isabella est si importante, si précieuse à tes yeux, tu crains que cette nouvelle vienne créer un froid entre vous. Tu crains qu’elle ne l’accepte pas et disparaisse de ta vie. Ce qui est la seule et unique chose que tu refuse. Tu ne pourrais survivre sans elle. Tu ne pourrais poursuivre ton existence sans elle. Peut-être est-ce banale, anodin, voir même stupide. Mais, tu es accro à cette femme. Sa présence au sein de ta vie est indispensable. Quand bien même tu ne la vois pas tous les jours. Quand bien même tu ne lui parle pas tous les jours. Aussi longtemps que tu sais qu’elle est là, que tu sais que tu peux compter un minimum sur elle, tu te sens bien. Tu te sens soulagée. Une autre chose que tu ne parviens pas à expliquer, à justifier. Cette femme possède un attrait, un charme qui a un effet très fort sur toi. Que tu tente de résister ou non. Que tu tente de combattre ou non. Elle est une ressource inexplicable de sensation et sentiment nouveau. Cette dernière choisit ce moment pour revenir sur Camille. Tu parlais, mais tu ne suivais plus réellement la conversation. Tu étais un peu perdue dans tes pensées, dans ce que tu ressentais en présence de cette ravissante créature. Elle te parle de lui et tu sens une certaine colère, une certaine haine à son égard. Tu sais bien qu’elle ne l’aime pas beaucoup, tu comprends bien pourquoi. Alors, un petit sourire en coin vient étirer tes lèvres tandis qu’elle te propose d’aller lui parler. “Même si je sais que ça lui remettrait facilement les idées en place, je crois que c’est peine perdu...“ Te contentes-tu de lui répondre, toujours aussi découragée de cet homme et de son soudain silence face à toi. “Puis, il ne mérite pas que tu prennes du temps à lui parler. Je préfère que tu parle avec moi à la place!” Ajoutes-tu, laissant ton sourire s’agrandir un peu plus alors que tu plonge ton regard dans celui de ton interlocutrice. Tu pèse chaque mot. Tu es honnête et franche comme tu ne l’es avec personne d’autre. Cette femme, assise devant toi, est ta faiblesse, sans l’ombre d’un doute. Avec elle, tu es toujours souriante, toujours épanouie. Loin d’elle, tu ne peux empêcher ton esprit de penser à elle, de l’imaginer auprès de toi. Tu es accroc, aussi stupide que cela puisse paraître. Pourtant, il n’y a jamais rien eu entre vous outre cette amitié forte et durable qui vous unie. Aucune autre relation, malgré l’envie de voir quelque chose naître. Tu crains toujours d’être la seule à le vouloir, d’être la seule à le désirer. Et, tu es bien trop timide à ce sujet pour chercher à savoir comment Isabella peut se sentir face à toi, face à cette possibilité. Toutefois, ce n’est guère le sujet aujourd’hui. Pour une rare fois, tu es en compagnie de la plus belle et la plus charmante créature de ce monde, mais tu ressens de la tristesse, de la peine. Ce n’est pas facile ce que tu vis, encore moins le vivre seule. Tu te trouve courageuse. Tu te trouve forte. Mais, il y a toujours un petit moment de faiblesse qui vient montrer le bout de son nez, surtout lorsque tu devrais rester forte, paraître forte. Tu n’arrive donc pas à la retenir cette petite larme qui coule le long de ta joue. Pourtant, tu es bien auprès de cette femme, tu es en confiance, tu es en sécurité. Ce qui n’empêche guère toutes les émotions présentent à l’intérieur de toi de ce livrer bataille en permanence. Et, cette fois, tu as perdue. Le tumulte puissant d’émotion à gagner sur le contrôle dont tu fais preuve jour et nuit depuis quelques temps. Cette larme, tu la maudis. Maintenant, Bella voit un côté de toi faible, un côté de toi vulnérable. Tu ignores si cela est une bonne chose ou non, mais tu poursuis tes paroles malgré tout. Il le faut. Tu dois agir comme si tout allait bien, comme si tu allais bien. C’est là que tu lui pose la question. La seule et unique question qui mérite d’obtenir une réponse, mais dont tu as honte de demander. Après tout, ce n’est pas à elle de prendre les responsabilités de t’accompagner, de te supporter et t’encourager lorsque nécessaire. Bien au contraire. Cela devrait être le devoir de Camille, le père de l’enfant que tu porte. Mais, immature et égoïste, il refuse même de t’adresser la parole. Par chance, tu possède cette femme dans ta vie. Par chance, il y a un lien plus puissant que tout qui vous unis. Les mots qu’elles prononcent viennent agir tel un baume sur ton âme. Toutes les émotions qui se battaient à l’intérieur de toi disparaisse. Tous ces conflits qui hantent ton esprit disparaisse. Il n’y a plus que toi, Isabella et le moment présent. Ce moment où elle tient ta main dans la sienne. Ce moment où elle s’approche un peu plus de toi. Ce moment où elle prend le contrôle de la situation. “Tu… Tu es merveilleuse, Isabella!” Dis-tu alors qu’un large sourire étire tes lèvres. “Qu’est-ce que je deviendrais sans toi dans ma vie…” Cette question, tu la demandes sans attendre de réponse. Car, tu sais que tu ne serais pas grand chose sans elle. À ton tour, tu t’approches un peu plus de ton interlocutrice, plongeant ton regard dans le sien. Tu es si prêt que tu parviens à sentir son parfum. “Encore merci Bella.” À ces mots, tu dépose un rapide baiser sur sa joue avant de reprendre ton emplacement précédent. |
|
| Re: i need to speak | bellaria {} Ven 19 Avr 2019 - 21:12 |
| i need to speak NO PAIN. NO GAIN Isabella avait aucunement l'intention de laisser son amie seule dans cette histoire, même si ça allait être compliqué elle ne s'imaginait pas même une seconde la laisser en plan et continuer tranquillement sa vie sans se retourner en la laissant derrière elle. « Je ne suis pas la meilleure loin de là Victoria, mais je refuse de te laisser toute seule dans cette histoire. Ce n'est pas quelque chose d'anodin une grossesse, tu as besoin de soutiens. » Isabella n'avait pas beaucoup d'amis ou du mois de réels amis sur qui elle pouvait compter à n'importe quand et n'importe quel moment, c'était quelque chose qui ce comptait sur les doigt d'une main ou même d'un seul doigt en ce moment. C'était Victoria, elle savait qu'elle pouvait compter sur elle pour toutes les situations où elle pourrait avoir besoin d'aide, même si elle aime souvent régler ses problèmes seule, elle le sait au fond d'elle qu'elle pourrait prendre le choix de se faire aider par moment. Et en sachant ça au fond d'elle, elle ne peut pas laisser son amie vivre cette grossesse seule, sans même le père que la blonde n'a jamais vraiment apprécié sans doute par jalousie, un peu, peut-être même beaucoup, mais la jalousie à ce stade ne fait peut-être pas tout. Bella posa à nouveau les yeux sur le ventre de son amie, elle imaginait divers scénarios tous plus fous les uns que les autres. « Tu n'as pas besoin de me remercier, c'est complètement normal que je sois présente pour toi. » La blonde sourit du coin des lèvres à son baiser sur sa joue, rougissant presque de son geste en se redressant dans le fond de son siège en la regardant à nouveau. « Quand est-ce-que tu as ta première échographie ou un rendez-vous médical ? Comme ça je peux déjà prévoir un congé pour ce jour-là. » Isabella allait essayé de se rendre le plus disponible possible pour son amie et tout ce qui l’attendait dans les mois à venir, que ce soit la journée ou la nuit elle répondrait présente, peu importe l’heure elle sera là. Ça allait certainement être compliqué au début et puis même tout le long d’ailleurs, mais il était important qu’elle épaule son amie pour ce moment aussi fort soit-il. La blonde essayait de mettre de côté les choses bizarres et inexplicables qu'elle pouvait ressentir pour Victoria, mais c'était quelque chose d'évident, pourtant il fallait qu'elle arrête d'être si égoïste et égocentrique, d'arrêter de penser uniquement à elle-même dans ce genre de moment précis. « Je t'abandonnerais pas. » La blonde reprit la main de son amie dans la sienne, la serrant avec douceur et toute la délicatesse qu’elle avait en elle pour lui faire comprendre qu’elle allait être présente et ne pas prendre peur. Isabella crevait de trouiller intérieurement, avoir peur de la perdre complètement de la voir repartir vers son ex petit ami et père de ce bébé, de la voir s’éloigner d’elle et de la voir quitter sa vie une fois que ce bébé serait là. Mais elle n’avait pas le droit, pas le droit de penser à elle et d’être égoïste à ce point, peu importe ce qui allait ce passé durant cette grossesse ou après, elle serait présente. Même si elle souffrira forcément, même si elle verra une partie de sa peau partir en fumée, un infime partie de son cœur de pierre qui avait repris forme humaine au contact de Victoria et qui partira lui aussi en fumée. - Spoiler:
désolée c'est très court. je me rattraperais à la prochaine réponse.
|
|
| Re: i need to speak | bellaria |
| |
| i need to speak | bellaria |
|
Sujets similaires | |
|
| |