Nash Youngje me morfond, puis je me bats. Messages : 153
pseudo : sweety, ge
faceclaim : tom ellis blood eagle
multinicks : a. blake (rosende)
âge : Tu vieillis de plus en plus mais tu tente de ne pas y penser trop souvent, afin d'éviter les soudains crises, comme plusieurs disent. Après tout, âgé de 35 ans, la quarantaine est proche.
occupation : Éditeur au main d'argent. Tout ce que tu touche, que tu publie s'avère devenir populaire et reconnu par la population.
statut civil : Tourmenté. Perturbé. Tu ne sais quoi penser. Tu ne sais quoi faire. Elle est si belle et pourtant, si hors d'atteinte. Puis, la mort de ta femme, les responsabilité paternel...
disponibilités rp : 6/6
intervention pnj : j'accepte les interventions.
| Let me tell you a story | shiloh |
| let me tell you a story but forget about the fairytale and happy ending La famille. À tes yeux, il n’y a pas grand chose de bien plus important, de plus précieux. L’amour occupe une grande place, bien entendu. Mais, sans amour il ne peut pas réellement y avoir de famille, n’est-ce pas. Les enfants proviennent, habituellement, de l’union de deux personnes qui s’aiment et qui espère fonder une famille. Une belle, grande et heureuse famille. Le sourire aux lèvres, la bonté au coeur et l’avenir sur la main. Au début, c’est ainsi que tu voyais les choses. Tandis que tu étais plus jeune, plus fragile, plus innocente. Désormais, tu as compris. Tu as compris que les choses ne se passent pas toujours comme souhaité. Que parfois, de nombreux problèmes surviennent et font en sorte que les idées, les projets s’écroulent. Ne laissant derrière qu’un amas impossible à reconstruire. À tes yeux, voilà ce que représente ta relation avec Camille. Quelque chose de détruit, de anéanti, que personne ne pourra jamais reconstruire. Pourtant, il y a à l’intérieur de toi, l’avenir. La seule et unique chose ayant survécu à cette histoire, à cette relation. Au fond de ton ventre, il y a un petit être, une petite chose qui a prit place et qui grandit lentement. Sans que tu ne puisse expliquer pourquoi, quelque chose à propos de cette chose, cette grossesse, t’hypnotise. Tu ne peux envisager sérieusement l’avortement. À tes yeux, cela serait équivalent à tuer un humain. Après tout, c’est bel et bien ce qui se trouve à l’intérieur de toi. Seulement plus petit, plus inoffensif et sans défense. Cet embryon ne possède que toi, et seulement toi pour le protéger de tout ce qui l’attends dans la vie. Les peines de coeur, le possible mépris d’autrui. Mais avant, les premières chutes, les premières fièvres, les premières douleurs reliés à son existence. Tu n’en as pas encore vraiment conscience, mais ce petit être sera la source de bien des choses. Autant positive que négative. Peut-être est-ce pour cela que, au fond de toi, tu avais envie de partager cette nouvelle. De partager ce nouvel avenir qui se dessinait pour toi. Étrangement, la première personne qui te vient en tête n’est pas le père de cet enfant, mais une connaissance de longue date, un ami, un confident. Un homme en qui tu as pleinement confiance. Et il est bien le seul. Shiloh. Tu te souviens de votre rencontre, des premiers moments passés avec lui. Tu te souviens à quel point il était gentil, charmant et facile d’approche une fois votre relation débuter. Quand bien même elle fût de courte durée. Quand bien même ce ne fût qu’une histoire de vacance. Il a su toucher ton coeur d’une manière que personne ne l’avait fait auparavant. Puis, lorsque les vacances ont pris fin, il est resté gentil avec toi. Il est resté aimable et souriant à ton égard. Les premiers temps, même encore aujourd’hui. Il frôlait la perfection, outre son pays natale qui l’appelait, qui l’attendait. En fait, quand tu repense à cette histoire, tu te trouve chanceuse d’avoir rencontrée un tel homme. Mais surtout, d’avoir pu garder contact avec lui après votre histoire. Vous êtes devenus proche, mais autrement. Il a été ton guide, ton ambassadeur montréalais lors de ton arrivée. permettant à ton petit ami de l’époque de faire autre chose que de visiter la ville pour toi. Une énième chose pour laquelle tu es reconnaissante auprès de Shiloh. Également l’une des principales raisons qui font que tu pense à lui aujourd’hui. Autant pour lui faire part de cette grossesse inattendu, mais pour lui faire visiter ton nouvel appartement. Tu avais trouvée quelque chose de bien, rapidement et qui convenait à ton budget de femme indépendante. Mais, personne n’avait mis les pieds à l’intérieur encore. Personne outre toi et les déménageurs qui ont permis un travail rapide et efficace. Alors, tu lui envoie un message. Tu lui envoie ta nouvelle adresse ainsi qu’une heure de rendez-vous un peu plus tard dans la journée. Ce qui te permettra de tout remettre en ordre pour son arrivée. Mais aussi de préparer un petit quelque chose, juste pour lui. Il n’est qu’un ami, un très bon ami, plus rien de sérieux n’aura lieu entre vous probablement. Toutefois, tu reste attachée à cet homme. Tu as besoin de lui au sein de ton existence, et tu le lui fais bien comprendre chaque fois qu’il est auprès de toi. Aucune avance, aucune arrière pensée. Juste toi qui profite de sa présence, de son réconfort et son éternel écoute. Et, comme tu l’espérais, il répondit positivement à ton invitation. Tu t’attèle donc à la tâche, ramassant les quelques morceaux de vêtements qui traîne ici et là, tout en préparant un petit gâteau simple et rapide. Une fois au four, tu entends quelqu’un frapper à la porte de ton appartement. Ce fût presque en gambadant que tu prends la direction de la porte, l’ouvrant sans prendre le temps de regarder qui cela pouvait bien être. Par chance, c’était lui, Shiloh. Un large sourire prends place sur tes lèvres tandis que tu le prends dans tes bras, déposant un rapide baiser sur sa joue. “Bonjour toi!” Dis-tu, heureuse telle un enfant. “Je suis si contente que tu sois là. J’avais hâte que tu arrives.” À ces mots, tu lui fais signe d’entrer à l’intérieur de ton appartement, fermant la porte derrière lui. “Si monsieur veut bien se permettre, je vous offre une petite visite rapide des lieux!” Tu es impatiente de partager ce petit nid de bonheur avec lui. De montrer ce lieu qui est tiens, à ton image. Puis, tu préfères ne pas lui lancer la bombe directement au visage, alors qu’il vient tout juste d’arriver. |
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