ROSE O'LEARY - those who talk shit are shit.

RoseO'leary

feat vanessa hudgens

naissance : Le premier jour du printemps, le 22 mars en 1988. Née dans la capitale irlandaise, à Dublin dans des circonstances terribles qui a coûté la vie à celle qui te portais, ta mère, qui a pris la décision de mourir pour que toi, tu puisses vivre. Cela fait trente-et-un ans qu'elle a fait ce geste si généreux, brave et désintéressé pour que tu foules cette Terre, que tu vives ta vie envers laquelle tu as été bien des fois cruelle.

origines, nationalités : Dans ton sang coule des origines, évidemment, irlandaises. Aussi orientales, plus précisément égyptiennes de par ta défunte et inconnue mère, ce n'est pas étonnant lorsque l'on voit ta peau parfaitement hâlée. L'Irlande est ton pays, ta patrie, ta fierté, c'est aussi ta nationalité. La seule et unique malgré que tu aies vécue pendant un certain temps à New York.

statut civil, orientation : Le cœur rempli de regrets accompagné d'un zeste d'immaturité, éternellement et chaotiquement amoureuse de ton premier véritable amour dont tu as détruit la vie en un quart de secondes. Célibataire, tu n'oses pas débuter une relation avec quiconque. Hétérosexuelle, elle s'est bien tentée à des liaisons après toute cette histoire, en vain.

situation financière : €€€€€, ce n'est pas toujours évident pour toi. N'étant plus seule depuis trois années maintenant, tu te bats. Tu t'obstines à trouver des solutions à tous tes problèmes sans l'aide de quiconque. Tu vis avec des revenus modestes mais tu es arrivée à un stade de ta vie où tu as connu plus précaire, malheureusement.

occupation : Tu n'étais pas la lumière de ton lycée. Bien loin d'être une mauvaise élève, tu as toujours été du genre à préférer parler et rigoler avec tes amis. Tu en as eu des réflexions quant à ton comportement d'élève perturbateur mais ça ne t'a jamais empêché d'avoir de bonnes notes. Pas les meilleures mais des bonnes notes malgré tout, légèrement influencé par ton petit-ami qui excellait dans les études. De ce fait, tu es sortie du lycée avec ton diplôme malgré que cela semblait inimaginable pour une majorité des enseignants. Tu ne t'es pas tentée à l'université. Hasardeusement, tu as toujours trouvé du travail. D'abord en tant qu'opératrice de saisie, ensuite en tant que standardiste, secrétaire, en bref, tu n'as jamais chômée ou alors pendant une courte durée. Arrivée à New York sur un coup de tête, ta sœur t'a engagé dans sa banque dans laquelle tu as occupée le poste d'hôtesse d'accueil. De retour à Dublin, tu es à nouveau hôtesse d'accueil dans une banque irlandaise.

régime alimentaire : éLa nourriture, le seul domaine où tu n'es pas une chieuse sans nom. Tu n'es pas compliquée concernant la nourriture, tu manges de tout parfois même trop, ce qui tu te forces à devoir faire du sport. Tu es omnivore même si toutes tes amies se sont décidées à être végétarienne.

allergies : éAucune, grâce au ciel ! Pour une aussi grosse mangeuse, une allergie alimentaire serait un cauchemar sans nom. Pendant quelques années, tu te disais allergique au pollen, ce qui était complètement faux. C'était une excuse pour ne pas sortir.

addictions : A proprement parlé, tu n'as jamais eu d'addiction pour quoique ce soit. Tu en étais proche mais tu as su calmer la chose pour le bien de tout le monde. L'alcool a failli en devenir une d'addiction après toute cette histoire avec ce malheureux accident mais c'est alors que tu as appris pour ta grossesse. Un signe pour toi que tout était récupérable, que tu étais récupérable, que tu devais l'être pour ce bébé dans ton ventre.

à dublin depuis : Tu y es née. Tu y as fait toute ta vie. Tu y es depuis toujours. Malgré tout, tu es partie après avoir appris pour ta grossesse, tu es partie rejoindre tes grandes-sœurs dont tu avais terriblement besoin à New York. Tu y es restée pendant trois ans, le temps qu'elles t'aident avec l'éducation de la petite que tu craignais de briser si tu étais toute seule. Maintenant que tu te sens prête à t'occuper d'elle toute seule ainsi qu'à t'occuper de toi-même, tu es revenue depuis peu à Dublin.

one two

Tu as ton caractère. Un caractère que peu supporte. Un mauvais caractère. Un caractère irritant. Avec l'âge, tu as fini par te calmer, devenir sage mais des certains traits de caractère sont persistants chez toi. Ton impulsivité, en premier lieu. Tu réagis sur le coup, téméraire, tu ne réfléchies pas forcément à tes paroles et tes actes. Tu fais les choses sur le coup. Après, tu ressasses et tu regrettes, tu te morfonds, tu t'en veux. Ce n'est pas pour autant que tu t'excuses. Tu pourrais insinuer un « pardon » mais le dire de vive-voix est compliqué. Il faut dire que tu as une sacrée fierté. Une fierté qui t'a coûté bien des fois, mélangé avec un côté rancunier qui n'arrange en rien. Rêveuse, si tu savais te poser ne serait-ce que quelques secondes pour réfléchir avant de parler, tu aurais tout ce dont tu rêvais. Malheureusement, et tu ne peux que te le reprocher à toi-même, tu as été forcée de te montrer débrouillarde, à être indépendante. Cela t'a plutôt réussi quand on sait que tu as toujours été cette gamine un peu capricieuse. Tu n'as eu d'autre choix que de dire adieu à cette gamine qui n'a fait que te causer des problèmes pour laisser place à celle que tu devais impérativement devenir pour ton bébé ; une femme mature et prudente, capable d'assumer un tel rôle, seule. Étonnement, tout est venu assez naturellement pour toi. Bien que le fait que tu sois maligne, intelligente et assez organisée y est joué pour beaucoup. Extrêmement protectrice, maintenant que tu es maman, même avec des personnes plus âgées que toi, tu te permets de réagir comme une mère le ferait. Attentionnée, tu sais te montrer présente pour les personnes ayant besoin, à quelques détails près, tu as mis de côté une personne qui aurait bien eu besoin de toi, volontairement. Ce que tu regrettes mais tu as merdé. Tu es certes rêveuse mais pour toi, les secondes chances n'existent pas. Parfois défaitiste, tu ne crois pas du tout au fait qu'il pourrait te pardonner. Etant toi-même rancunière, tu ne te pardonnerais pas à toi-même. Le pardon... Un sujet assez complexe pour toi, toi qui a pourtant été entouré de personnes ne faisant que te pardonner tes actes, gestes et paroles blessantes que tu as eu. Malgré tes 30 ans bels et bien présents, tu restes une demoiselle pleine de vie. Même si tes journées peuvent être crevantes, tu as toujours une réserve d'énergie si ta fille veut aller au parc pour s'amuser ou encore tu trouves toujours du temps dans ta soirée pour balader le chien, cette boule de poils ressemblant plus à un ours qu'à un chien, en soit. Les fêtes, cela fait bien des années que tu n'en as pas faite et au vue de la façon dont s'est terminée la dernière, tu ne préfères pas te retenter dans ce genre de soirée car oui, même si tu es têtue, une vraie tête de mule, tu sais apprendre de tes erreurs. Pourtant, tu y apprends parfois un peu en retard. Tu es une pro de la fuite. Tu n'as jamais vraiment affronté les choses en face. La seule fois que tu avais l'occasion d'affronter une sale situation, tu as préférée te défiler, faire comme si de rien n'était, te montrer même menteuse, de mauvaise foi. Pendant ces trois années, tu as essayé de changer ça, de grandir, de devenir une adulte assumant totalement ses faits et gestes et petit-à-petit, tu y arrives mais ce n'est pas pourtant gagner.

Quel est votre comportement face aux obstacles de la vie ? Rencontrez-vous actuellement des difficultés ?

Tout le monde à son comportement face à des difficultés et le tien est probablement le pire de tous possibles. Tu fuis la difficulté, tu te défiles et même pire, tu laisses les autres en prendre la responsabilités s'il est possible qu'ils les prennent pour toi. Tu es quelque peu lâche sur plusieurs aspects. Tu t'es pris des réflexions piquantes de tes grandes-sœurs quand elles ont su toute la sale situation qui te menait à New York. Disant les choses sans filtre, tout comme toi, elles n'ont pas caché une certaine déception. Pourtant, ce n'est pas pour autant que tu as décidé de partir de New York pour retourner à Dublin pour affronter les circonstances de ce qui était, et il faut l'avouer, totalement ta faute. Non, tu es restée à New York pendant trois ans. Trois longues années rongées par le remords. Tu as compris que tu ne peux pas avoir un futur digne de ce nom si tu n'arrives pas à tourner la page du passé. Une page qui n'arrivera pas à se tourner sans lui. Fini de fuir, tu assumes... ou peut-être pas. Ce n'est pas encore trop tard pour prendre un vol pour New York, si ?

(un) Quand tu es arrivée au monde, tu y es arrivée sans ta mère. Une situation qui aurait pu être impossible à vivre mais ton père a fait de son maximum pour t'offrir une vie digne de ce nom à toi et tes grandes-sœurs qui ont beaucoup souffert de cette perte. Toi, tu étais petite et tu ne t'en rendais pas compte. Par la suite, quand tu grandissais, tes proches ont su t'expliquer la chose sans te prétendre coupable de la mort de ta mère. (deux) Avec tes sœurs, vous étiez proche. Cul et chemise. On ne vous séparez plus. Elles sont, bien évidemment, plus âgées que toi mais ça n'empêchait pas la bonne entente. Cela malgré que tu sois celle ayant le plus fort caractère, et le plus mauvais caractère. Elles ont eu bien des fois du mal à te supporter mais elles ont toujours réussi à te calmer, toi et tes crises de nerfs. Quand elles sont parties pour New York, tu as été très triste mais tu étais déjà lycéenne, presque majeur et, aussi improbable soit-il d'après elles, tu étais dans une relation stable, tu ressentais moins le besoin d'avoir le soutien de tes sœurs. (trois) Tu as toujours été une bonne vivante. Tu aimes danser, sortir, profiter de l'instant présent, passer du bon temps avec les gens que tu aimes. Tu passais énormément de temps avec ta famille, tes sœurs et surtout ton père. Un homme que tu as toujours admirer. Il faisait partie des gens qui croyaient en toi corps-et-âme et cela malgré que tu aies été, pendant toute ta scolarité, une élève perturbatrice. Pas mauvaise pour un sous mais dès qu'il y avait une connerie à faire en classe, tu y faisais partie sans même te poser des questions. Tu aimais amuser la galerie, faire rire et sourire les autres. Tu étais populaire, une popularité que tu ne comprenais pas, à cause de cet humour et de cette bonne humeur constante que tu avais. Les professeurs n'étaient pas très fan de toi mais les étudiants eux, l'étaient. (quatre) C'est au lycée que tu l'as rencontré, lui, celui qui a véritablement fait battre ton cœur. Ton premier amour. La perfection au masculin. Ton homme. Ton âme-sœur. Celui qui te supportait toi et ton sale caractère. Celui qui savait te contrôler, te calmer, te réconforter. L'épaule parfaite sur laquelle pleurer quand tu te sentais malheureuse. Isaiah. Aussitôt avait-il prononcer son prénom, aussitôt tu étais accro à lui. De nature rêveuse, tu avais fait des plans sur la comète. Quand tu as vu que quand vous aviez quitté le lycée, que vous étiez toujours ensemble et amoureux, c'est bon, tu étais fixée ; aménagement, mariage et enfants. Tu ne voulais rien d'autre qu'une vie stable et normale avec lui. Au vue de ta situation familiale un peu particulière, c'était à se demander si tu avais réellement connue la définition du mot « normal » mais peu importe, tu voulais d'une vie avec lui plus que tout au monde. Et tu as bien failli y arriver mais comme à ton habitude, tu as fini par tout gâcher, toute cette vie parfaite qui s'était instauré entre vous, tu as tout brisé, détruit, saccagé. (cinq) Ça part d'une soirée où tu étais bourrée. Complètement bourrée. Bourrée comme tu l'as rarement été. Tu ne te contrôlais plus. Tu ne savais même pas ce que tu faisais. Tes pulsions réagissaient bien plus que ton cerveau. Tu étais ailleurs. Ton esprit logique et critique étaient ailleurs. Ils t'ont laissés complètement sous l'effet de l'alcool. Cette soirée... Tu ne t'en souviens même pas ou très peu. Tout est vague, trop vague. Tu n'as que des brèves flashs. Des flashs qui ne sont pas agréables à ta mémoire. Tu te vois agir de façon complètement déplacée avec des hommes dont tu n'arrives, même aujourd'hui, pas à voir le visage. Tu t'entends dire des propos salaces et tu te détestes quand tu t'en souviens. S'il avait agi de cette façon avec des femmes, tu l'aurais tout simplement séquestré pendant trois mois. Et c'est là que tu te souviens t'être emportée contre lui, Isaiah qui, le pauvre, essayait de te résonner du mieux qu'il pouvait, t'expliquer la situation mais toi, tu as préféré montrer sur tes grands chevaux, te montrer agressive, blessante et de mauvaise foi avec lui. Tu te souviens de tes paroles et du fait que tu n'en penses pas un mot. Au contraire. Le fait que vous ayez installé une routine ne te dérangeait pas. Tu le vivais même plutôt bien. Tu n'avais dit ces mots que pour le blesser, lui faire du mal et le mettre en colère parce que... Parce que quand tu es bourrée, tu es complètement conne. C'est la mauvaise partie de toi qui parle, peu importe la personne en face de toi. Même si c'était lui. C'est ainsi que tu as provoqué un accident. Un accident regrettable dont tu appris les conséquences gravissimes plus tard, bien plus tard, sur les journaux locaux. Avant ça, tu as pris soin de le laisser tomber. Isaiah avait besoin de toi, de ton soutien, que tu l'aides et tu l'as laissé tomber. Lui qui te n'aurait jamais abandonné dans une telle situation, qui t'aurait soutenu contre vents-et-marrés, toi, tu as préférée fuir. Tu n'as même pas cherché à prendre contact avec lui pendant le temps du procès. La culpabilité et encore une part de toi qui était en colère de la façon dont il a réagi à cette soirée. Tu es rancunière et même quand tu étais en tort à cet instant-là, tu lui en voulais. C'est pour ça que tu as menti à la police quand elle te posait des questions quant à ton implication dans cet accident. (six) Après que tu aies réagi en véritable lâche, il t'a bien fallu deux mois et pratiquement trois bouteilles de whisky toutes les semaines avant que tu ne rendes compte que tu avais profondément mal agi, que tu avais été égoïste et rancunière à un point ridicule, que tu as été vindicative alors qu'il ne voulait que ton bien. Tu as tenté de le recontacter mais c'est exactement le même jour que tu as appris être enceinte. En apprenant que tu attendais un enfant, tu t'es montrée, une nouvelle fois, lâche. Tu as pris un vol pour New York, fais tes bagages sur un coup de tête et voilà que tu avais quitté Dublin pour l'une des villes d'Amérique, celle où vivait tes deux grandes-sœurs. Tu as tout bonnement paniquée et tu avais peur. Peur qu'il te rejette, qu'il te déteste encore plus en apprenant ta grossesse, grossesse que tu n'aurais pu lui cacher pour la simple et bonne raison qu'il a toujours lu en toi comme dans un livre ouvert. (sept) Tu as pu compter sur l'aide de tes sœurs bien qu'elles ne cachaient pas leur déception quant à ta façon de réagir. Elles t'ont aidé avec ta grossesse, pour trouver un travail, t'installer à New York et t'y faire une place. C'était effrayant pour toi de te retrouver dans une aussi grande et intimidante ville, toute seule... enfin, en compagnie d'une petite chose qui grandissait dans ton ventre et dont tu ignorais complètement le destin à tes côtés. Tu y as longuement réfléchie. Au bout de six mois de grossesse, tu as décidé de le mettre à l'adoption, de le laisser à une famille plus méritante, à une mère bien mieux que toi. Tu lui voulais tout le bien du monde à ce bébé, déjà qu'il avait connu des premiers mois compliqués en étant dans ton ventre, le ventre d'une femme complètement perdue, déboussolée et qui ne trouvait que l'alcool comme remède à ses maux. Ce bébé avait eu une mère pathétique le temps de ta grossesse, tu ne voulais pas que cela continue pour le restant de sa vie. (huit) Lors de ton accouchement, tu as, du tout au tout, changé d'avis. Bien que têtue, quand on t'a demandé si tu voulais tenir ta petite fille, tu as dit non mais après, le temps de sa toilette, elle a instinctivement tournée sa petite tête vers toi et tu n'as pas pu résister après. Tu l'as prise dans tes bras fatigués par l'accouchement, tu as passé vingt longues minutes à l'admirer, à la regarder s'endormir, paisiblement, un vrai petit ange tombé du ciel. Un miracle. Ton miracle. Tu as décidé de la garder. Hors de question pour toi de la mettre à l'adoption, cette petite bouille, tu ne pouvais pas t'en séparer. Tes sœurs t'ont prévenues, t'ont rappelé les lourdes responsabilités que c'était d'avoir un enfant toute seule mais tu t'es pensé prête à le faire pour cette belle bouille d'amour qui était ta fille. Tu te devais de faire ça pour elle, tu te devais de grandir et c'était une occasion en or pour le faire. Devenir mère, adulte et assumer ses choix et ses actes. Tu devais l'apprendre et c'est à ce moment-là que tu l'as compris. (neuf) Les premiers mois, le temps que tu t'organises, les choses étaient catastrophiques, tu n'étais pas cette demoiselle si organisée, non, là, tu étais complètement bousculé par un petit-être qui chamboulait tout sans s'en rendre compte. Tu ne comptes pas les nuits où tu n'as pas dormi et le lendemain, tu allais au travail comme si de rien n'était. Tu étais crevée mais tu étais déterminée à dépasser tes limites pour ta fille, la jolie petite Elisabeth, surnommée Elie ou encore Petite Princesse à cause de ses petites crises ce qu'elle tient de sa maman, ça ne fait aucun doute. (dix) Il y a peu, tes sœurs et toi avaient décidées de retourner à Dublin à cause de l'état alarmant de votre père qui commence à être attaqué par un cancer du poumon. Au début réticente, tu as fini par prendre sur toi et te dire qu'il fallait que tu profites de ton père et la petite Elie de son grand-père. Peu importe si tu t'inquiètes de croiser Isaiah. La vérité finie toujours par se savoir, de toutes les façons, non ?

f ou m / prénom nom (libre) OU (pris)
type de lien Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur

un jolie titre

dernière maj : 00/00/2019

prénom nom feat avatar
Type de lien / Sed ut perspiciatis unde omnis iste natus error sit voluptatem accusantium doloremque laudantium, totam rem aperiam, eaque ipsa quae ab illo inventore veritatis et quasi architecto beatae vitae dicta sunt explicabo. Nemo enim ipsam voluptatem quia voluptas sit aspernatur aut odit aut fugit, sed quia consequuntur

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à vous

ROSE O'LEARY - those who talk shit are shit. 778944683

je peux ?
rose est déjà maman et sun-hee vient tout juste d'apprendre qu'elle le sera dans quelques mois

coucou toi. ROSE O'LEARY - those who talk shit are shit. 733971127

je ne t’avais pas souhaité la bienvenue donc je t’en le souhaite maintenant avec un choix d’avatar absolument divin ROSE O'LEARY - those who talk shit are shit. 3531271051

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et puis, étant donné que tu es l’ex d’isaiah et que je suis la femme impliquée dans l’accident, la femme enceinte dans la voiture d’en face qui a accouché dans les heures qui ont suivi l’accident, et qui est maintenant maman d’une petite fille de trois ans (qui a une malformation cardiaque), d’un petit garçon de cinq ans et dont le mariage vire au drame, je suppose qu’on peut bien avoir un lien ? ROSE O'LEARY - those who talk shit are shit. 496191378

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» I need to forget all this shit feat Logan
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