“L'enfant reconnaît sa mère à son sourire.” + LEWIS

Tu fermes les yeux, tu venais de déposer ta fille chez sa nounou, tu avais besoin de te poser un coup. Cela faisait déjà plusieurs semaines où tu enchainais sans avoir de repos et une seule seconde pour toi. Tu étais crevée et tu avais encore tellement de choses à faire, tu restais sur ton canapé encore quelques minutes. Te laissant bercer par la musique que tu avais mise en marche. Tu aimais cette femme, elle était tellement extraordinaire et tu étais complètement dingue d’elle, Lady gaga. Tu avais adoré son film, que tu avais regardé en boucle et tu avais forcément lâché une petite larme à la fin. Ton téléphone sonna, tu avais mis une sonnerie, tu n’avais plus le temps de trainer, tu ouvrais les yeux, regardant la liste des tâches que tu avais mise sur la table basse. Un léger soupire sorti de ta bouche, direction la douche, tu pris une longue douche, bien chaude pour te détendre les muscles. Une fois dehors, tu décidas d’attacher tes cheveux en une simple queue-de-cheval, un maquillage assez simple, tu enfilas rapidement un jean assez moulant, un top blanc et une veste en cuir. Des baskets, ton sac à main et ton portable et tu quittas ton appartement pour prendre la direction d’un appartement au centre. En effet, tu avais réussi à obtenir l’adresse de cet homme, celui avec qui tu avais couché il y a maintenant presque cinq ans, et dont une petite merveille avait vu le jour. Il n’était pas au courant, tu n’avais pas eu le courage de lui avouer. Il était temps que tu le fasses, tu ne pouvais pas lui cacher l’existence de cette demoiselle, alors tu étais monté dans ta voiture pour aller jusque chez lui, espérant qu’il soit là. Une fois en bas du bâtiment, ton coeur se sert, une boule au ventre, tu montes dans l’ascenseur pour arriver quelques minutes après dans le couloir. Ton regard balaya celui-ci et se posa sur la porte, tu respiras un bon coup et tu toquas alors à celle-ci. Jouant nerveusement avec les bagues qui se trouvaient sur tes doigts.

Aujourd’hui pas de concert. Pas d’interview. Pas de répétition. Pas de session en studio. Aujourd’hui pas de musique. Pas de batterie, sauf peut-être pour ton plaisir personnel. Ou bien si une vague d’inspiration arrive et que tu as envie de composer pour ton groupe. La femme de ménage que tu embauches vient de partir. L’appartement est parfaitement propre. Tu sors tout juste de ta douche, vêtue d’un jean noir, d’un t-shirt rouge et de baskets. Aujourd’hui, tu n’as envie de rien, juste de flemmarder. Tu t’installes dans ton canapé, tu allumes ta console pour pouvoir lancer l’application Netflix et te poser devant un bon film ou bien alors commencer une nouvelle série. Tu ne sais pas trop. Tu sais que tu peux commencer une nouvelle série, car votre prochaine tournée n’est que dans quelques mois, et puis, même si tu lances une série maintenant, tu pourras toujours la suivre dans le bus grâce à ton téléphone portable ou ta tablette. Alors que tu viens de lancer un film, quelqu’un frappe à ta porte. Bizarre. Presque personne ne sait où tu habites et tu n’as rien commandé. La factrice est passée ce matin. Peut-être que c’est la femme de ménage qui a oublier quelque chose. Tu te lèves de ton canapé pour aller ouvrir la porte d’entrée. « Bonjour, je peux vous aider ? » Tu ne connais pas la jeune femme qui se trouve devant toi. Elle est plutôt charmante. Elle te dit vaguement quelque chose, mais vue le nombre de personne que tu croises par jour, impossible pour toi de te souvenir de tout le monde. Sans doute, encore, une fan qui à trouver ton adresse, tu ne sais pas comment pour te demander un autographe ou bien une photo dédicacée.

Tu ne sais pas si c’est la bonne solution, après tout cela fait maintenant quatre ans que tu t’en occupes seule, elle n’a pas forcément le besoin de connaitre son père. Finalement, des dizaines de questions tournent dans ta tête, tu n’as pas fait le chemin pour rien. Tu dois penser à ta fille, à son bonheur et vivre sans père n’était pas la meilleure solution. Il n’allait peut-être pas se souvenir de toi, c’était même sûr, tu étais juste un coup d’un soir parmi tant d’autres, tu le savais. Ton coeur battait si rapidement, ça te faisait limite mal, tu avais hésité, tu aurais pu faire demi-tour, mais non, tu as décidé de toquer à cette porte. Tu avais eu de la chance de connaitre un peu de monde pour le retrouver, tu n’en étais pas fière, mais tu n’avais pas eu le choix. T’approcher d’une personne comme lui, n’était pas évident, loin de là. Tu étais là devant sa porte, jusqu’à ce que celle-ci s’ouvre sur l’homme en question. Tu l’aurais reconnu entre mille, en même temps ce n’était pas compliqué. Des tatouages partout sur le corps, un regard noir perçant, sa voix. « Bonjour, euh… » il ne te reconnaissait pas, ça t’aurait aidé s’il t’avait reconnu tu aurais pu lui dire directement. « On s’est rencontrés il y a quelques années, et je voulais juste te dire que tu es père. » oui tu étais directe, mais en même temps tu ne voulais pas tourner autour du pot, tu n’allais pas raconter des bobards, il n’avait pas que ça à faire après tout. Ton regard se posa sur ta montre, tu n'avais pas l’impression que le temps ne passait pas et c’était tapotement réel, c’était absolument le cas. Tu savais parfaitement qu’il n’allait pas te croire, en même temps il devait subir ça tous les jours, ou presque. « Je suis désolée de t’annoncer ça comme ça, je n’ai jamais eu le courage de le faire avant. » laissais-tu glisser entre tes lèvres.

Tu observes la jeune femme qui se trouve sur ton pallier, de haut en bas. Tu observes comment elle est habillée, comment elle se tient. Elle n’a clairement pas l’air d’une groupie qui veut ta peau. « Je suis père ? » Tu te mets à rigoler. Ce n’était pas la première fois que l’on te faisait croire une telle chose. Les femmes sont prêtes à tout pour avoir de l’argent aujourd’hui. Tu tournes les talons, ouvres un tiroir de la commode et en sort un chéquier. Tu te rediriges alors vers la jeune femme. « Bon, combien pour que vous me fichiez la paix ? » Tu attends, presque impatient qu’elle te donne un montant, que tu signeras sans réfléchir, rien que pour être tranquille et surtout pour que ton adresse ne soit pas divulgué au grand public. « Vous n’imaginez pas combien de fois, on m’a fait croire que j’étais père, simplement pour de l’argent ! Et dès que je parle de test ADN, bizarrement, je n’entends plus parler de personne ! » Alors, que va-t-elle choisir, le chèque ou bien partir en courant comme toutes les autres parce que tu as parlé de test ADN et qu’elle va prendre peur ?

Tu savais comment il allait réagir, du moins tu l’avais imaginé dans ta tête, ce qui ‘était normal. Pourtant, tu ne rigolais pas, ce n’était pas un mensonge, juste la vérité. Malheureusement, il devait coucher avec tellement de femmes que finalement, ça devait être régulier. Tu n’avais pas besoin d’argent, ton compte était plein, limite saturé, tu travaillais et tu étais plutôt bien payé, en même temps tu n’étais pas en bas de l’échelle, mais bien tout en haut. Tu n’eus pas le temps d’ajouter quelque chose qu’il fit demi-tour, revenant avec un chéquier à la main, tu levas les yeux au ciel. Ça ne se voyait pas que tu portais que de la marque, que tu avais donc un style de vie plutôt ‘bien’. « Je n’ai pas besoin d’argent, vraiment, ce que je voulais, c’était vous le dire. » tu n’allais pas laisser tomber, loin de là, tu voulais qu’il soit au courant. Oui avant, tu étais une fan de cet homme, mais finalement le temps est passé, même si tu continues d’écouter les musiques, tu avais grandi, tu n’étais plus une jeune demoiselle. Depuis, tu avais pris du grade, tu avais pris de l’âge et tu t’occupais d’un petit ange, tu n’avais plus le temps pour ce que tu faisais auparavant. « Je l’imagine bien, mais je ne rigole pas. Je suis pour un test ADN si ça pourrait vous faire que je ne mens pas. » ton regard droit dans le sien, ton stress avait disparu, l’image de la femme d’affaires avait repris vite le dessus. « Cela s’est passé précisément il y a bientôt cinq ans, un soir après l’un de vos concerts. Nous avons couché ensemble, et j’ai appris ma grossesse assez tard… bien trop tard pour faire quoi que ce soit. » finissais-tu par avouer. Oui, peut-être que tu ne l’aurais pas gardé si tu avais eu le choix, à vrai dire tu n’avais jamais songé à cette question.

Elle ne rigole pas. Tu le vois dans ces yeux. À cet instant, tu te rends compte que tu es dans la merde. Déjà, parce qu’elle accepte de faire un test ADN. C’est donc qu’elle est sûre d’elle, que tu es le père de son enfant. Tu tournes les talons de nouveau, te dirigeant de nouveau vers ta commode. Tu ranges ton chéquier. « Allez y entrer. » D’un coup, ton timbre de voix change, tu es différent. Tu deviens l’homme sérieux. Presque l’homme d’affaires. Parce que oui, tu sais que désormais, il va s’agir de négociation. « Vous dîtes que notre aventure date d’il y a cinq ans, pourquoi venir que maintenant ? » Tu te diriges dans la cuisine, la laissant toute seule dans le salon, tu te sers un café, t’en a clairement besoin là. « Vous voulez boire quelque chose ? » T’es sur le cul, tu t’attendais pas à ça, mais bon, tu ne vas pas l’envoyer chier la pauvre. Après tout, même si tu te protèges, le risque zéro n’existe pas. Et puis, tu as tellement de conquêtes sur ton tableau de chasse, que tu savais qu’un jour ça allait arriver, tes sœurs t’avaient prévenu, mais tu leur avais toujours répondu avec le sourire. Maintenant, il va falloir avaler la pilule. « Pour le test ADN, vous vous êtes déjà renseigné pour savoir comment il fallait faire ? Quelle procédure il y avait ? Parce qu’il va me falloir la preuve que cet enfant est vraiment le mien avant que l’on n’aille plus loin ! » Toi papa. Tu ne l’aurais jamais imaginé. Mais d’en un sens, c’était le rêve que tu avais depuis toujours. Fonder une famille. Même si ça ne se déroulait pas vraiment comme prévu. Tu as grandi avec un père absent, alors si cet enfant est le tien, hors de question que tu sois absent à ton tour.

Pour toi, il était normal de prévenir le père et d’essayer de le faire accepter cet enfant. Tu avais perdu tes parents très jeunes, tu avais été élevé dans une famille aimante et tu voulais donc que ça soit la même chose. Tu ne pensais qu’au bonheur de ta fille et nombre de fois où elle prononçait le mot papa, sans avoir de réponse. En même temps, elle allait déjà à l’école depuis un an et elle voyait bien que ses copains avaient deux parents et non pas qu’une mère, encore jeune mais déjà bien intelligente. Elle était bien trop avancée et elle était malade, quelque chose dont tu ne pouvais malheureusement rien faire, si tu avais eu le pouvoir, tu aurais déjà retourné le monde entier pour lui permettre de vivre paisiblement. Il finit par baisser sa garde et décide de te faire entrer dans son appartement, en même temps il n’allait pas continuer cette discussion-là. Tu entres chez lui, fermant la porte derrière toi, tu le suis sur quelques mètres et finalement tu restes là, planté en plein milieu de la pièce. Tu n’étais pas à l’aise, tu ne le connaissais pas à par avoir partagé une nuit, tu n’avais rien fait de plus avec lui. En y repensant, tu étais vraiment stupide, ça t’avait fait comprendre la vie, maintenant tu t’étais un peu calmé à ce sujet. Ton regard se pose de nouveau sur lui et tu te pinces les lèvres « Ce n’est pas évident d’entrer en contact avec un homme comme vous. Et je ne me sentais pas de vous affronter. Et finalement, j'ai pensé au bonheur de ma fille, c'est pourquoi je suis là. Vivre sans un père, ce n'est pas la meilleure des choses. » tu croises tes mains devant toi. « Non merci. » laissais-tu glisser entre tes lèvres, tu ne comptais pas abuser de son hospitalité. Ton regard balaya rapidement la pièce, avant de reporter ton attention sur lui, sur ce qu’il te disait. Tu hochas la tête, fouillant rapidement dans ton sac à main pour sortir des papiers. « Il faut remplir ce dossier et par la suite, se rendre dans un centre pour faire les tests avec l’enfant. Et vous aurez la réponse quelques jours après. » tu déposas le papier sur la table, tu avais déjà rempli ta partie, il ne lui restait plus que sa partie à remplir.

Ta tasse de café dans les mains bien chaude. Tu t’assois dans le canapé, commençant à siroter ton café. Tu ne sais pas vraiment quoi dire, tu attends qu’elle dise quelque chose. Qu’elle t’explique ce qu’il fallait que tu fasses. Tu es totalement perdu. Tu ne réalises pas vraiment ce qu’il t’arrive. Tu entends alors que tu pourrais être le père d’une petite fille. Une petite princesse. Que demander de mieux ? Une princesse à protéger. À aimer. Dans le fond, c’est toujours ce que tu as voulu non ? Quand tu y repenses, quel pourcentage de chance, ou plutôt de malchance, il y avait pour que tu sois très fertile, qu’elle soit dans sa période d’ovulation et qu’elle soit également très fertile ? Décidément, le bon dieu t’aura puni. Tu te redresses un peu, prenant en main son dossier. Tu te lèves pour aller chercher un stylo dans ton meuble et revient t’asseoir sur le canapé pour commencer à le remplir. Nom. Prénom. Adresse. Coordonnés. Banalité quoi. « Désolé d’être aussi difficile à trouver, mais vous n’imaginez pas le nombre de personne qui invente des mensonges rien pour me voir. » Tu ne te vantes pas. Ta carrière, tu l'as mérité. Ta renommé, tu t’es battu pour l’avoir. Dix ans de carrière pour être finalement connu qu’au bout de six ans de carrière, ce n’est pas énorme. « Quand désiriez-vous allez dans ce centre ? Je ne pense pas que se soit une bonne chose que l’on y aille ensemble. Déjà, parce que je ne voudrais pas que les gens me voient. Et je ne voudrais pas non plus donner de faux espoir à votre fille. » Et dans le fond, tu dois avouer, que tu ne veux pas non plus t’attacher à un visage, pour au final, apprendre quelques jours après que cet enfant n’est finalement pas le tien.

Tu le regardes du coin de l’oeil, tu n’en reviens pas que tu es là aujourd’hui, dans son appartement, devant lui pour lui annoncer la nouvelle. Nombre de personne qui te l’avaient dit de passer le cap, d’aller le voir, mais tu n’avais jamais réussi. Tu restais silencieuse, très sérieuse, après tout tu ne pouvais pas être autrement. Ton regard survola rapidement l’ensemble de son appartement, cela se voyait qu’il ne manquait pas de moyen et pourtant, il ne montrait pas sa richesse pour autant. Un logement assez simple, une bonne décoration, des produits haut de gamme mais pas de luxe pour autant. Il se fit un café, certainement pour se calmer, ce que tu pouvais comprendre, toi tu préférais fumer, mais clairement, tu ne voulais pas montrer une mauvaise image de toi, alors tu refusais absolument tout, une fois que tout cela sera terminé, tu allais pouvoir fumer ou aller courir, au choix. Tu vas vers lui, le regardant remplir le papier, de toute manière, il ne pouvait plus rien te cacher, tu étais entré chez lui, tu connaissais son nom et prénom, là où il habitait ce qu’il faisait dans la vie, bref. « Je comprends, il n’y a pas de soucis. » laissais-tu glisser entre tes lèvres. « Ça ne doit pas être évident tous les jours, je suppose. » en même temps c’était ça la vie de célébrité, se faire accoster un peu partout dans la rue, se faire poursuivre par les journalistes et autres. Se voir en couverture de magazine avec des mensonges, tu connaissais parfaitement ce domaine, tu travaillais dans la communication. « C’est quand vous le souhaitez, j’irais certainement demain avec la petite pour qu’elle fasse les tests, vous avez mon numéro, quand vous aurez les résultats vous n’aurez qu’à m’appeler. » tu te pinças les lèvres, car pour toi, tu savais que ça ne pouvait être que lui. Durant cette période, tu n’avais pas eu d’autre relation. Mais bien évidemment, tu ne pouvais que le comprendre, il se protégeait.

Elle est compatissante. Ta pression redescend. Tu n’as plus envie de la tuer ou bien d’appeler la police pour la faire sortir de chez-toi. Non, cette fois-ci, tu es plutôt intriguée par le fait qu’elle soit sûre d’elle. Sûre que c’est toi le père. Tu commencerais presque à paniquer. Mais pas besoin de stresser, tant que les résultats ne sont pas arriver. Cela ne sert à rien que vous restiez plus longtemps en face l’un de l’autre, de quoi voulez, vous parlez alors que pour le moment, toi-même, tu n’es sûr de rien ? « Bien, je vous appelle dès que j’ai les résultats dans ce cas-là ! Je vous raccompagne à la porte. » Tu es diplomate et courtois. Tu ne veux pas la foutre dehors, mais pour le moment, tu n’as pas envie de t’attacher à cette femme, ni même parler de sa fille, tant que tu n’as pas la preuve comme moi, c’est vraiment ta fille. Tu sens que tu vas devoir passer quelques coups de fil pour assurer tes arrières. Par exemple ton manager, pour le prévenir. Ton avocat pour savoir comment ça se passe pour l’argent, la pension, tes droits de père. Mais également ta famille, car si elle est vraiment ta fille, tu vas devoir leur annoncer, que tu es père depuis déjà quatre ans, mais que tu n’en savais rien.

Tu n’as pas envie de lui mettre la pression, ça servait absolument à rien, ton but était juste de lui faire comprendre qu’il était le père et que tu aimerais qu’il reconnaisse sa fille. Non pas pour l’argent, tu en avais suffisamment, tu n’avais pas besoin de sa popularité ou autre. Tu le regardais remplir le formulaire, ton regard se promena un peu partout dans la pièce, se posant enfin sur la vue qu’il avait depuis son appartement, pas mal. Il avait certainement l’une des plus belles vues, comme depuis ton appartement d’ailleurs. Finalement, il te tira rapidement de tes pensées, l’ambiance était tout de même très tendue. Tu lui fis un léger sourire « J’attends de vos nouvelles du coup. » tu avais fortement compris que tu devais partir, le laisser seul à ses réflexions. Tu replaces ton sac à main sur ton épaule, tu laisses échapper tout le stress que tu avais accumulé. « Merci pour le temps que vous m’avez consacré. » tu lui laisses un léger sourire et finalement tu ouvres la porte avant de prendre le chemin du retour pour retourner chez toi et finir les tâches que tu devais faire.