 | HENLEY DESROCHERS - hurricane. {} Lun 11 Mar 2019 - 11:56 |
| Henley Desrochers feat Melissa Benoist naissance : C’est le 4 octobre de l’année 1988 que la douce a vu le jour, ici même, à Montréal. Ce qui fait donc qu’elle a déjà vécu trente belles années.
origines, nationalités : Henley est une canadienne de pure souche. Enfin, il se pourrait qu’elle ait quelques origines étrangères, mais si c’est le cas, elles sont lointaines et elle n’en a pas connaissance.
statut civil, orientation : Après une longue relation, elle est aujourd’hui célibataire et elle se satisfait pleinement dans cette situation. Peut-être qu’un jour, elle ressentira à nouveau le besoin de se caser avec un homme, mais pour le moment, la liberté lui convient parfaitement. Henley est hétérosexuelle.
situation financière : $$$$$$, sa situation est stable, elle vit simplement et gagne assez pour s’octroyer quelques plaisirs de temps en temps. Elle n’a pas besoin de plus.
occupation : C’est surprenant, on ne s’y attend pas en la voyant pour la première fois, mais Henley est mécanicienne. Elle bosse dans un petit garage en ville, un petit garage où elle a roulé sa bosse, dans lequel elle s’est fait une place et où elle s’épanouit pleinement.
régime alimentaire : Elle mange de tout, avec une certaine tendance pour la malbouffe, même si elle tente de se soigner. Elle ne peut pas reculer devant un énorme burger ou un panier d’ailes de poulet.
allergies : Le kiwi. Seule allergie détectée pour le moment, mais on est à l’abri de rien puisque cette allergie au kiwi lui est arrivée comme ça, d’un coup, un peu comme une envie de pisser… Après, ça n’est pas vraiment handicapant puisqu’elle n’a jamais vraiment apprécié ce fruit.
addictions : Le café. La clope ne l’a jamais attiré. L’alcool, elle en boit, mais elle sait faire sans aussi, en revanche, le café… elle ne peut faire sans. Elle en est accro, elle ne peut pas commencer la journée sans. N’essayez pas d’engager la conversation avant la première tasse, elle risquerait de mordre.
à montréal depuis : toujours. Et probablement pour toujours. Cette ville lui plaît, elle la connaît presque comme sa poche et elle ne ressent pas l'envie ou le besoin d'aller voir ailleurs. patronum / jessica
vingt-sept ans
belgique
de la pub sur facebook
pré-lien de @morgan fraser onetwoHenley, c’est une bouille d’ange. Des grands yeux bleus, des joues qui ont été pincées plus d’une fois par la tante Tessy. Et si effectivement, elle a cet aspect un peu angélique, de ces personnes à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession, la jeune femme, ce n’est pas que douceur et paillettes. Au contraire, si elle peut se montrer douce parfois, en règle générale, c’est plutôt tout le contraire. Elle est du genre à foncer tête baissée, telle une tornade et à se retourner par la suite pour se rendre compte des dégâts qu’elle a causés. C’est une tête brûlée qui ne recule devant rien et qui déteste avoir tort. Elle a un côté rancunier aussi, même si on ne s’en douterait pas au premier abord. Elle accorde sa confiance facilement, elle a envie de croire que le monde est bon et elle ferait tout ce qui est possible pour les personnes qu’elle aime, mais si vous avez le malheur de la trahir, c’en est fini pour vous. Oh elle ne maudira pas votre descendance sur dix générations, au contraire, elle restera courtoise, mais n’espérez rien de plus. Cela dit, Henley, ce n’est pas qu’un caractère de cochon, comme on pourrait le croire. Oui, elle a la tête dure, mais c’est aussi un clown de service. Elle n’aime pas les gens tristes, les choses trop sérieuses… alors sa parade pour échapper à ça, c’est de faire l’imbécile, de rire de tout et de rien parce qu’il faut mieux rire que pleurer.
En gros, Henley, c’est la bonne copine sur qui on pourra toujours compter… mais n’espérez pas pouvoir jouer avec ses pieds, vous risqueriez de vous en mordre les doigts.
Quel est votre comportement face aux obstacles de la vie ? Rencontrez-vous actuellement des difficultés ?
Les coups durs, Henley connaît. Que ce soit le départ de sa mère quand elle n’avait encore que cinq ans, les déceptions amoureuses et plus récemment la maladie de son père, la jeune femme a été confrontée plus d’une fois à des difficultés dans sa vie, mais elle est toujours passée par-dessus. Il y a toujours cette phase où elle a besoin d’être seule, à traîner dans une tenue où personne ne voudrait la voir, à se goinfrer de toute la glace et le chocolat qui traîne dans son appartement et puis finalement, elle remonte la pente. Se morfondre à longueur de journée, ce n’est pas quelque chose qui l’intéresse, ça ne fait pas avancer. Elle a besoin de son petit coup de déprime en solo, d’un mars et puis ça repart… (un) Henley, c’est une surprise. Une vraie surprise, de celle qu’on n’attend pas, qu’on n’espère pas vraiment. Ses parents étaient ensemble depuis un peu plus d’un an quand Norah, la mère de Henley, a commencé à se plaindre de douleurs dans le bas du ventre. Quelque chose de supportable au départ, jusqu’à ce que la douleur devienne de plus en plus aiguë, totalement insupportable. Déni de grossesse. Arrivée à l’hôpital, c’est Henley qui a pointé le bout de son nez. (deux) C’est difficile, mais le couple s’adapte, apprend au fur et à mesure. Jusqu’au cinq ans de la petite. Henley était restée plus longtemps à l’école, sans trop comprendre pourquoi. Ce jour-là, son père était venu la récupérer à l’école, alors que c’était généralement Norah qui le faisait. Mais de toute évidence, la mère de famille en avait assez de ce rôle et elle était partie sans se retourner. Du coup, la petite fille a grandi aux côtés de son père. Un père qui s’est coupé en quatre pour faire en sorte que son bébé ne manque de rien. Et concrètement, il s’en est plutôt bien sorti. Du moins, Henley adore son père et serait prête à tout pour lui. Un lien fort et indescriptible les lie. Elle n’hésite pas à dire qu’il est homme de sa vie et que c’est bien pour ça qu’elle ne trouvera jamais chaussure à son pied. A ses yeux, aucun homme ne peut arriver à la cheville d’Alan Desrochers. (trois) Pendant longtemps, Henley, a eu ce côté garçon manqué, qui ne la mettait pas forcément en valeur. Elle était casse-cou, elle adorait passer son temps à escalader les arbres et à aller récupérer son chat sur le toit de la maison, malgré les remontrances de son père. Ce n’est qu’à son entrée au lycée que la belle a commencé à se familiariser avec les jupes et autres robes. Elle s’est dévoilée au fur et à mesure tel un papillon sortant de sa chrysalide. (quatre) Cependant, porter des talons, se maquiller, se coiffer… avoir l’air d’une fille, c’est une chose, mais chassez le naturel et il revient au galop ! Son père étant mécanicien, Henley a toujours traîné dans le cambouis. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, son père l’emmenait dès qu’il le pouvait dans le garage où il travaillait. C’est ainsi qu’est née cette passion pour la mécanique chez la jeune femme. Dès qu’elle a été en âge de tenir une clé en main, elle s’est mise à bricoler avec son père. C’est assez naturellement qu’elle est donc devenue mécanicienne à son tour. Même si Alan espérait des études pour sa fille, il ne pouvait pas l’empêcher de faire ce qu’elle voulait. C’est donc ainsi que la belle s’est fait une place dans un monde d’hommes et elle est même plutôt vachement douée dans le domaine. (cinq) Un domaine pour lequel elle n'excelle pas en revanche, c’est la cuisine. On pourrait même dire que c’est une véritable catastrophe à ce niveau. Mais têtue comme elle peut l’être, elle n’a pas encore abandonné l’idée de réussir un plat. Un jour, elle y arrivera, c’est certain… mais en attendant, ce sont ses proches qui en paient les frais. (six) En amour, Henley n’a jamais vraiment été très chanceuse. Au lycée, elle a eu quelques coups de cœur, mais ça n’a jamais vraiment été réciproque. C’est à dix-sept ans qu’elle rencontre son premier grand amour. Une histoire qui va sans doute un peu trop vite, un garçon qui ne lui correspond pas vraiment, un trou du cul en puissance, comme son père a pu lui dire à plusieurs reprises, seulement elle était amoureuse et elle se complaisait dans cette situation pourtant pas idéale. Il lui faudra six ans avant d’ouvrir les yeux. Six ans pour se décider à remballer ses affaires et à replier boutique. Après ça, elle s’est laissé le temps pour profiter, expérimenter, s’amuser. Après quoi, elle a sauté la pas d’une application de rencontre et elle en a fait quelques-unes avant de finalement tout arrêté. Entre les connards et les gays non assumés, elle a fini par raccrocher. Le célibat, ce n’est pas si mal au final, elle peut encore faire ce qu’elle veut, sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit. Si le prince charmant doit venir sonner à sa porte, peut-être qu’elle se laissera tenter, mais une chose est certaine, ce n’est plus elle qui se mettra à lui courir après. (sept) En revanche, en ce qui concerne l’amitié, Henley a été beaucoup plus chanceuse dans le domaine. Depuis qu’elle est au lycée, elle a sa petite bande de potes, à la vie à la mort. On dit qu’on choisit ses amis, mais pas sa famille. Concernant, la famille, on ne peut pas dire qu’elle soit très fournie, alors sa petite bande, c’est la famille qu’elle s’est choisie. Et elle n’échangerait cette bande de cinglés pour rien au monde. (huit) La vie est un long fleuve tranquille… Henley est bien placée pour pouvoir affirmer que c’est loin d’être le cas. Si ces dernières années ont été plutôt calmes pour elle, le sort s’est rappelé à elle. Son père a récemment été diagnostiqué d’un cancer du poumon. Pour lui qui n’a jamais fumé de sa vie, c’est un comble. Les médecins ne se prononcent pas plus que ça. Il est soigné, suivi, mais elle voit son père se consumer petit à petit, de jour en jour. Une nouvelle épreuve à affronter. Elle fait de son mieux, garde la tête haute, mais ça n’est pas tous les jours faciles de garder la tête haute pour deux. Alan semble défaitiste. Lui qui a appris à sa fille à se battre quoiqu’il arrive, semble vouloir baisser les bras. (neuf) Henley n’est pas spécialement une grande fêtarde. Elle aime sortir à l’occasion, boire un verre avec ses amis, mais elle n’a jamais vraiment été adepte des soirées en boîte de nuit. Elle préfère aller s’égosiller dans un karaoké, passer la soirée dans un bar, quitte à rentrer à pas d’heure, mais clairement, elle préfère passer un moment en bonne compagnie, à pouvoir discuter sans avoir à hurler à pleins poumons plutôt que de se trémousser et mélanger sa sueur avec de parfaits inconnus. (dix) Elle joue incroyablement bien du piano, mais très peu de personnes peuvent se vanter de l’avoir entendu un jour jouer. Cependant, ce fut un critère primordial pour elle lorsqu’elle a choisi son nouvel appartement, il fallait qu’elle trouve un endroit pour y caser le piano qu’elle avait dans sa jeunesse. Elle a arrêté de jouer lorsqu’elle a emménagé avec Jake, son premier amour. S’il avait trouvé ça mignon au début, il a finalement été agacé par cette musique qu’elle jouait. Henley n’avait pas cherché plus loin et avait cessé de jouer. Elle n’a plus appuyé sur une touche depuis. Elle a peur d’être rouillée, de ne plus y arriver, alors elle se contente d’en avoir un dans son salon. Peut-être qu’un jour…
Dernière édition par Henley Desrochers le Lun 18 Mar 2019 - 10:23, édité 7 fois |
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Abigail O'Higginsexpert dans l'art du sourire. Messages : 303
pseudo : AloneAsEver
absent(e) jusqu'au : 01/08/2019
faceclaim : Paige Turco, Oricya
âge : 49Yo
occupation : Des animaux, il y en a à soigner par ici ! Chiens, chats... Elle peut également s'occuper des autres, un peu plus gros et prend "plaisir" à remettre sur pieds n'importe quel animal qui en a besoin. Le refuge est un endroit qui lui tient énormément à coeur !
statut civil : Mariée depuis 26 années à un homme merveilleux. Leur vie n'a jamais été entachée et ils s'aiment comme au premier jour ! Sa famille, c'est toute sa vie !
intervention pnj : j'accepte mais modérément.
| Re: HENLEY DESROCHERS - hurricane. {} Lun 11 Mar 2019 - 17:07 |
| Cette petite bouille me fait trop craquer ! Bienvenue à toi parmi nous !   |
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