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 (alexis), i was fine flyin' solo

BREATH OF DESTINY :: chapitre trois / dublin, irlande. :: stephengreen's :: home sweet home
Maeve Ó Riain
expert dans l'art du sourire.
Maeve Ó Riain
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pseudo : MARY-W./marie.
faceclaim : eliza taylor (@blood eagle).
âge : vingt-huit ans.
occupation : stagiaire tout juste engagée au national museum of ireland, plus occupée à servir des cafés qu'à faire ce qu'elle aime.
statut civil : célibataire, coeur triste et lourd. elle n'veut plus aimer, plus s'ouvrir à ça- peut-être parce qu'elle est encore accrochée à quelqu'un.
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disponibilités rp : 3/3; toi?
intervention pnj : j'accepte les interventions.
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#TEAM. B A G E L S
#1. w/loevan, #2. w/alexis, #3. w/juliette, #4. w/ohana, #5. w/ula, #6. w/loevan, #7. w/en attente - tc, #8. w/sun (uc) toi? (■■■)


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(alexis), i was fine flyin' solo
{} Jeu 18 Avr 2019 - 14:14

might seem so crazy
lately i've been in a rollercoaster mind
and my body cannot follow what's inside

- ft. @stella morand / @alexis blake.

Comme dans les plus grands films de drame romantique, Stella aurait eu envie de se laisser tomber par terre, de s'mettre à pleurer de façon pitoyable en imaginant toute une armée de spectateurs ressentant la même douleur qu'elle. Elle aurait voulu s'la jouer cliché, mettre la musique de Titanic en fond et s'apitoyer sur son sort, en boucle, comme si quelqu'un aurait décidé de faire un montage de toute sa vie sentimentale minable. A la Pretty Woman, repassant encore et encore les mêmes images qui n'avaient plus de sens aujourd'hui- rien d'autre qu'la douleur lancinante qui allait avec un cœur brisé. Tant de références pop culture qui auraient pu lui servir de modèle : mais bizarrement, aujourd'hui, Stella n'pleurait plus. Elle avait pourtant tourné, et tourné en bourrique sur le pourquoi du comment Loevan l'avait larguée comme une malpropre : elle avait gobé des gallons de glace en espérant que ça donne un sens à sa vie. Elle au moins, elle n'était pas obligée de retourner faire le trottoir, contrairement à Julia Roberts dans Pretty Woman. Y'avait du positif là-dedans, hein ? La blonde n'avait jamais été une prostituée que Loevan avait récupéré dans la rue comme ça, comme un caprice d'un instant. Peut-être que si ç'avait été le cas, les choses auraient été claires depuis l'début- au moins, elle n'se serait pas laissée avoir par des choses aussi stupides que les sentiments. Elle aurait eu envie d'appeler Juliette- en ce moment toutes les deux, elles passaient un certain nombre de temps à critiquer le genre masculin dans tous les sens. Elle aurait bien eu envie de l'faire aujourd'hui encore, quitte à se lancer dans un rituel voodoo pour faire payer à tous ces mâles, leur connerie immense : elle pourrait toujours cacher ça derrière un effort d'aider son amie à tourner la page de son ex-fiancé trompeur. Ouais, quoiqu'il en soit, peut-être bien que la Morand n'était pas la plus à plaindre, au niveau sentimentale : elle n'était pas la femme que Loevan avait épousée, pour mieux la bafouer quelques années plus tard, en se tapant une fille comme elle. Et elle n'était pas du genre de Juliette, assez naïve pour s'éprendre d'un gars comme Logan, et de découvrir qu'il aimait fricoter ailleurs. C'était facile d'en dire tout un tas de mauvaises choses, sur l'ex de Ju' : ça ressemblait au moins à un effort de l'aider à s'en remettre, le truc polarisant qui n'avait pas de sens. Ce qui était beaucoup plus difficile pour Stella, c'était d'reconnaître ses propres conneries à elle- ou plutôt, celles de Loevan. Parce qu'il suffisait qu'elle s'regarde dans un miroir, vraiment, pour commencer à s'insulter mentalement, en un océan de critiques et de phrases à la 'que t'es con, ma pauvre' submergeant tout son crâne. Elle avait été bien bête, oui- et maintenant, elle se disait qu'il était peut-être même trop tard pour en parler à Juliette. Ou à Sun. Ou à Joanie. Peut-être plus à Juliette encore. Qu'est-ce qu'elle penserait de son amie, jouant le rôle de la maîtresse dans un ménage qui s'en serait bien passé, hein ? Parce que la blonde, elle avait été aussi dans les premières critiquant la nana que Logan s'était tapée, comme si elle, elle faisait mieux de ses propres charmes.

Si seulement elle pouvait remonter en arrière. Tiens, c'était tout c'qui lui restait : l'amer regret de vouloir remonter le temps et tout réécrire. Elle n'pouvait pas faire ça, malheureusement. Tout ce qu'elle put faire, c'est décrocher son téléphone ; non pas pour appeler Loevan ou une de ses meilleures amies- non. Son choix s'arrêta sur Alexis. Alexis Blake- le gars qui avait eu du mal à rentrer dans sa tête au début, quand elle avait fait la connaissance de Juliette. Il était un peu comme la gueule de bois qui accompagnait une soirée bien arrosée : parce qu'il le fallait. Du moins, c'était ainsi que Stella l'avait perçu pendant un moment : lui, le meilleur ami qui parfois regardait Juliette avec un peu trop d'intensité, trop d'attentes vis à vis d'elle. Le gars plus sympathique qu'une gueule de bois, hein évidemment ; mais aussi avec ce côté qu'on n'voulait pas forcément voir. Peut-être l'avait-elle jugé trop vite ou trop superficiellement : encore aujourd'hui, après des années passées à connaître Juliette par cœur, Stella n'savait pas. Il était son meilleur ami à elle, avant d'avoir lié quoique ce soit comme rapport avec ce clan de copines qu'elles avaient formé toutes les quatre. Pourtant, il avait fallu que ce soit lui parmi tous les autres, qui ait découvert le pot-aux-roses pour Stella et Loevan : lui qui la confronte, et elle qui s'confonde en excuses, en bonnes raisons, en explications qu'elle n'avait pas le courage à donner à qui que ce soit d'autre. Il n'l'avait pas jugée- peut-être ne l'avait-il jamais jugée, quand elle, elle avait été si prompte à avoir des premières impressions presque toutes faites à son égard. Y'avait quelque-chose de surprenant, mine de rien, au fait qu'elle l'ait appelé, qu'elle ait tâté le terrain avant de lui demander s'il pouvait venir la voir ce soir. Et dans l'fait qu'il ait accepté, sans soupirer, sans poser de question, sans avoir l'air de traîner des pieds. Dans tout ça, la jeune femme n'avait pu s'empêcher de reprendre son téléphone, pour cette fois-ci envoyer un sms à Alexis – ou plutôt, tout une flopée. Des trucs du genre 'si jamais, la glace aide toujours' et des 'j'suis végane, au fait' et des 'mais fais comme tu le sens' qui ne laissaient pas beaucoup place au doute : peut-être était-ce mal placé ou presque méchant, d'attendre d'Alexis, qu'elle n'connaissait que par Juliette, qu'il vienne à son secours, avec de la nourriture pour la consoler sur une histoire à laquelle il s'était retrouvé mêlé, sans vraiment le vouloir. Oui, bientôt, il faudrait qu'elle prenne son courage à deux mains, et en parle honnêtement à Juliette, à Sun, à Joanie : non pas qu'elle doute des capacités de ce gars avec qui elle n'avait que peu parlé, à trouver les bons mots pour vraiment lui remonter le moral. Mais avec les filles, elle avait toujours eu quelque-chose de particulier : paradoxalement, même si c'était elle qui n'disait rien, elle qui avait honte, elle s'sentait mal de n'pas pouvoir leur parler. Le temps sembla passer trop lentement : Stella était déjà sortie de ses vêtements de ville pour enfiler ces fringues loin d'être sexy qu'on utilisait quand on rentrait chez soi, qu'on voulait être confortable tout simplement : le gros tee-shirt qui cachait le fait qu'on n'avait plus de soutien-gorge et le bas de jogging qui laissait assez de place pour se remplir la panse. Elle pourrait le regretter, demain. Mais enfin, on frappa à sa porte- alors même qu'elle avait été en train de regarder le début de The Millers, le film le plus débile qu'elle connaissait. Oui, ce soir, elle avait envie de rigoler, quand bien même son mood par défaut était toujours de se plaindre de son cœur en mal. Quand elle alla ouvrir, elle fut rassurée, mine de rien, que ce soit bel et bien Alexis à sa porte : son esprit avait beau trop se concentrer sur Loevan en ce moment, elle avait aussi d'autres emmerdes. De quoi la rendre parano, vraiment. « Hey. » qu'elle sourit au jeune homme, quelque peu prise de court. Ce n'était pas anormal qu'elle soit sympa avec lui, qu'elle lui offre un sourire amical, ou même une attention quelle qu'elle soit. Ce qui était bizarre, c'était qu'ils ne soient que tous les deux – généralement, ils n'se voyaient que par le biais de Juliette. Et dans ces moments-là, Alexis n'avait toujours d'yeux que pour Juliette. « J'espère qu'y'a de la Ben & Jerry's là-dedans... » plaisanta-t-elle en désignant le sachet qu'il avait avec lui – ça faisait vraiment chiante exigeante, hein ? Mais Stella ricanait assez contre elle-même, pour prouver qu'elle n'était pas sérieuse. Pas à cent pour cent, en tout cas. Non, elle n'lui claquerait pas la porte au nez s'il n'avait rien ramené, parce qu'il n'était pas juste son porteur de bouffe. Il n'était pas ça tout court. Mais à vrai dire, elle n'saurait pas dire ce qu'ils étaient. Enfin, elle se décida à s'écarter pour lui faire signe de rentrer : oui, tout aussi sympathique Alexis était-il, y'avait quelque-chose de bizarre, presque de clandestin, à ce qu'elle l'accueille chez elle. Rien que tous les deux. A croire qu'elle ne ferait que s'enfoncer dans l'estime de Juliette. « J'rigole, hein. Je veux dire... merci d'être venu. Et- et pour ça... j'peux rembourser si tu veux. » elle était déjà en train de chercher son sac- ses affaires toutes neuves, puisqu'elle s'était fait piquer les autres, la veille à peine. Il n'avait sans doute pas prévu de faire des courses, d'perdre son temps à faire ça ou même de perdre son temps avec elle tout court. Ça n'devait pas être facile de l'écouter geindre. Le pauvre, elle n'savait pas si elle pourrait être de bonne compagnie, ce soir.

Alexis O'Brien
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Alexis O'Brien
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occupation : tu t'occupes de plusieurs manières. Tu es prof de musicologie à l'université, tu es pianiste et fondateur du Nemesis Band qui est comme ta seconde famille. Et tu offre des cours de musique particulier, à qui le veut bien.
statut civil : Tu es célibataire depuis déjà bien trop longtemps, mais il s'avère que ton coeur est prit par une terrible créature. Elle ne se rends même pas compte qu'elle te fait souffrir... Pourtant, tu l'aimes. Le coup de foudre de ta vie.
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Re: (alexis), i was fine flyin' solo
{} Mer 22 Mai 2019 - 20:50

i was fine flyin' solo
@Stella Morand & Alexis Blake

L’amitié. L’amour. La ligne entre les deux est si fine, si mince. Il est parfois facile de confondre les deux. Longtemps, tu as été parmi ceux qui se pose la question. Longtemps, tu as cherché à trouver une réponse à ce que tu pouvais ressentir. Quand bien même tu la connais depuis ta plus tendre enfance. Quand bien même elle est l’une des plus belle filles que tu connaisse. Il y a avait toujours une part de toi qui remettait tout en question. Comme si tu ne méritais pas l’amour. Comme si tu ne méritais pas sa présence dans ta vie. Était-ce le cas. Jamais tu ne pourras le savoir. Alors, tu dois te contenter de ce que tu possède, de ce que tu sais. Cette femme, tu l’aimes. Pour vrai. Ce n’est pas qu’un amour passager. Ce n’est pas qu’un amour futile et banale. Elle représente énormément à tes yeux, bien plus que tu ne serais capable de l’avouer d’ailleurs. Ton coeur s’emballe chaque fois que tu pose ton regard sur elle. Ta respiration s’accélère lorsque tu la prends dans tes bras. Tu frissonnes à la simple odeur de son parfum. Il n’y a personne d’autre en ce monde capable de provoquer ces choses en toi. Personne. Pourtant, elle ignore tout. Tu es tellement lâche, tellement timide que tu ne parviens pas à lui avouer tes sentiments. Chaque fois que l’occasion se présente, tu trouve une excuse pour ne pas le dire. Tu crains qu’elle refuse de les accepter ces sentiments. Tu crains qu’elle ne te vois plus de la même manière par la suite. Tu crains qu’elle s’éloigne, qu’elle refuse de t’adresser la parole de nouveau. Il s’avère que toutes ces craintes te bloquent, littéralement. Que cela soit comme amie ou comme amoureuse, tu as besoin de cette rousse dans ta vie. Tu as besoin de lui parler ne serait-ce qu’une fois par jour. Alors, la perdre… Tu ne pourrais survivre. Tu ne pourrais passer outre. Tu aurais l’impression de perdre une raison d’exister, une raison de respirer. C’est stupide, tu le sais. Toutefois, tu ne peux faire autrement. C’est ainsi que tu te sens depuis déjà plusieurs années. Tu sais que tu es le meilleur ami, le frère de coeur, le confident. Tu sais qu’elle ne voit rien d’autre en toi. Peut-être est-ce douloureux. Mais beaucoup moins que de la regarder s’éloigner et ne jamais se retourner. S’il fallait que tu la perdre, s’il fallait qu’elle t’abandonne, tu ne saurais plus quoi faire. Tu ne saurais plus le même homme. De plus, perdre cette rousse viendrait créer des tensions avec ces amies. Avec les années, tu as appris à les connaître, les une après les autres. Tu as créé des liens avec elles. Ce qui te semblait logique. Juliette est ta meilleure amie depuis si longtemps, être proche de ces amies à elle, ce n’est pas si anormal, ce n’est pas si étrange. Puis, vous vouliez tous la même chose à un moment. Punir Logan pour ces mauvaises actions envers la jolie rousse. L’union fait la force, comme tu aimes le penser. Ce qui ne t’empêche pas d’être surpris lorsque tu pose ton regard sur l’écran de ton téléphone, figeant quelques secondes face au prénom inscrit sur l’écran. Stella. L’une des amies de la rousse. Tu lui avais confié ton numéro, il y a quelques temps. Si elle en ressentait le besoin, tu allais être là pour elle. Tu le lui avais promis. Tout comme tu l’as promis à Juliette, il y a bien longtemps. Tu es ainsi. Tu pense toujours au bonheur des autres avant de penser au tiens. Alors, quand elle demande à ce que tu la rejoint chez elle, tu accepte, sans hésiter, sans broncher. En dépit des questions qui traversent ton esprit, tu te contente d’accepter et commencer à te préparer pour cette rencontre inattendue. Tu refuse de lui montrer ton questionnement, de peur qu’elle retire son invitation. Car, tu sais que si elle t’appelle, ce n’est pas sans raison. Elle a besoin de quelqu’un. Et elle a choisi toi, juste toi. Tu te mets donc en route, amusé par les différents messages que Stella envoie par la suite. Pourtant, tu adhère à chacune de ces demandes. Peut-être était-ce pour faire bonne impression. Peut-être était-ce parce que tu ressentais qu’elle en avait besoin. Peu importe. Tu allait débarquer chez elle les mains pleines de ce qu’elle désire. Tu ne pouvais rester là, sans rien faire. Tu ne pouvais laisser Stella dans la détresse, dans la tristesse. Il fallait que tu fasse quelque chose. Il fallait que tu répondes présent, comme tu le lui avais déjà dis. Tu es un homme de parole, qui respecte ses promesses. Ce qui ne t’empêche guère d’en faire un peu plus, ramenant de la nourriture à cette blonde qui n’attends que toi. La situation va peut-être être étrange, voir même malaisante. Détail qui ne t’importe pas réellement. Même si tu passe la soirée silencieux, à la regarder dévorer tout ce sucre, tu t’en fou. Si la seule chose dont elle a besoin est la compagnie de quelqu’un qui connaît son histoire, tu seras présent. Si elle refuse d’en parler, tu ne seras pas celui qui viendra la forcer. Au contraire. Tu sais comment cela peut être douloureux. Tu feras comme elle le voudra. Tu prends donc une inspiration, prêt à affronter ce qui se trouve de l’autre côté de la porte lorsque tu frappe. Cela ne prends pas beaucoup de temps avant que la blonde ne vienne ouvrir, vêtue de vêtement ample. Voilà déjà un signe de son état sentimentale. Tu te souviens de Juliette, dans des vêtements similaires. C’était après la rupture avec Logan. Après qu’elle est découvert qu’il lui jouait dans le dos avec d’autres filles. “Hey.” Lui réponds-tu, automatiquement. Tu soulève légèrement le sac que tu porte, rempli des demandes de la jeune femme, et un peu plus. À sa question, tu lève les yeux au ciel, laissant un petit sourire prendre place sur tes lèvres malgré tout. “Si tu préfères, je peux aussi tout garder pour moi ein, ça me dérange pas!” Dis-tu, amusé. Tu n’étais pas sérieux. Et jamais tu ne priverais une femme triste de ce qu’elle demande. Tu n’es pas ainsi. “Et t’inquiète, c’est mon cadeau! Si tu sors un seul dollars, je m’amuse à les lancer sur un mur, juste pour être certain que tu les gardes!” À ces mots, tu fronces légèrement les sourcils. Mais, ce sourire est toujours présent sur tes lèvres. Tu effectue quelques petits pas, te menant à l’intérieur des lieux où tu pose un regard quelque peu interrogateur sur la jeune femme. “Tu veux que je dépose ça où?” N’étant pas très familier avec les lieux ni avec Stella, tu préfères attendre, tu préfères suivre ces indications. Habituellement, tu es en compagnie de Juliette également, quand tu discute avec cette blonde. Alors, ce n’est pas très habituel comme situation. Ce qui ne t’importe pas du tout. Tu préfère être quelque peu timide mais utile, que rester seul chez toi alors qu’elle a besoin de compagnie. “À moins que tu veuille déjà tout dévorer?” De nouveau, il y a ce petit sourire sur tes lèvres. Ce sourire agréable, discret mais sincère. Tu ne veux pas la presser. Tu ne veux pas la forcer. Elle parlera si elle veut, si elle est prête. En attendant, tu feras comme elle le souhaite.


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