TOPIC COMMUN / Le marché aux fleurs.

La belle rousse adorait la fête des fleurs, situé dans le quartier proche du sien. C'était principalement les couleurs par centaines, les senteurs mais aussi la beauté des variétés de fleurs qui l'attirait toujours autant. Elle l'artiste, cela l'inspirait à dessiner, à prendre plein de fleurs et composer un bouquet, pour en faire une toile. Bon, elle n'était pas franchement une artiste, plus celle qui rendait l'artiste connue par son travail mais bon. Les fleurs avaient toujours été le pêché mignon de la belle, en ayant reçue pas mal dernièrement d'ailleurs. Mais ce qu'elle aimait aussi, c'était l'ambiance, les petits stands tournés autour des fleurs et de leurs essences. Elle avait déjà prévue de quoi faire quelques emplettes, un petit tote-bag dans le sac à main et en avant. Juliette y venait seule, mais elle savait pertinemment qu'elle y croiserait quelques connaissances, surtout que la maire allait y faire un discours digne de celui de la nouvelle année car en quelque sorte, ici à Montréal, c'était plus le printemps, le premier de la nouvelle année.

Déambulant comme elle pouvait dans la foule, elle essaie de se frayer un chemin, portable en main pour prendre quelques belles photographies d'une variété de fleurs qu'elle adoraient. Mais ce monde...C'est avec virulence qu'elle reçoit un "coup", la bousculant assez fortement et son portable qui tombe l'écran net sur le sol.
« Bon sang !» Gueule-t-elle, avant de se dépêcher de ramasser son smartphone, le cœur battant vivement. Elle voit rouge la rousse, en voyant l'écran complètement explosé de son téléphone.
« Purée c'est pas possible ! Il est détruit !» Elle est en colère oui, son regard se porte sur la personne qui l'avait bousculé, qui semblait assez mal à l'aise. Il y avait de quoi.

Spoiler:

vincent n'a pas voulu venir à tes côtés, pour le marché aux fleurs. tu le comprends, dans un sens.
il a toujours été un peu moins sensible que toi.
c'est son charme, aussi, à ton mari.
et vos connaissances savent bien, à quel point vos caractères peuvent s'éloigner, et pourtant. pourtant rien ne vous a jamais séparés.

son refus ne t'a pas arrêté dans tes préparatifs, et tu en es maintenant à déambuler dans les rues du marché, esquissant un petit sourire face aux nombreuses senteurs. ça appelle au printemps, tout ça. sans compter sur les températures qui commencent enfin à s'adoucir. il sera bientôt temps de ranger les grosses vestes d'hiver. c'est une bonne nouvelle, en réalité. l'hiver est toujours rude à montréal, et même s'il ne fait pas toujours très chaud en été, c'est toujours plus agréable que les tempêtes de neige.
tu songes à proposer des vacances à vincent, partir quelques jours ou plusieurs semaines rien que vous deux, tu ne sais trop où. vous pouvez vous le permettre, après tout. mais ce n'est pas le sujet du moment. tu es plutôt en train de te demander si tu vas terminer par craquer et ramener du thé à la maison ou non. tu aimes plutôt bien ça, le thé. sans doute un petit côté anglais de cacher au fin fond de tes veines. tu n'as pas le temps de prendre une décision, que tu entends du grabuge un peu plus loin. une histoire de téléphone si tu arrives à tout suivre de là ou tu te trouves. et un léger soupir t'échappe. si les gens étaient moins accrochés à leurs téléphones aussi. tu marmonnes plus pour toi-même qu'autre chose. et tu dois l'avouer, tu es un grand utilisateur de ton smartphone, mais tu sais aussi profiter des petites choses du quotidien. et si tu as ton portable sur toi, c'est seulement pour rester joignable. pas pour filmer tout ce que tu vois, préférant profiter du moment présent.

la fête de fleurs, naofel s'y rend chaque année sans même savoir pourquoi. c'était, lorsqu'il était plus jeune, l'occasion parfaite pour dégoter le bouquet qui aurait fait plaisir à ses parents. le temps passant, le musicien n'a plus grand monde à contenter si ce n'est lui-même et pourtant, voilà qu'il revient. lui, qui n'a plus vraiment de places dans son appart pour un pot de plus.
la faute à la nostalgie.
il fait beau aujourd'hui. le ciel n'est pas aussi bleu qu'espéré mais il fait suffisamment doux pour se passer d'écharpe et de bonnet. et ça aussi, ça lui avait manqué. quitte à mourir de froid, fel entêté à porter un simple t-shirt sous sa veste et même, même s'il a 99% de chance d'attraper froid, ce geste suffit à le mettre de bonne humeur.
alors il déambule, se penche sur certains bouquets qu'il hume du mieux qu'il peut malgré le maelstrom de parfums. son regard s'accroche à quelques tulipes, celles que sa mère préfère , et son palpitant se serre l'espace d'un instant.
y'a des jours, comme ça.
fel se relève, marche à reculons pour se retrouver de nouveau dans l'allée mais son dos butte contre quelque chose, quelqu'un et s'il n'y avait pas eu d'éclat de voix, le brun l'aurait tout simplement ignoré. rah, calisse! il marmonne et se tourne vers la rousse qui de toute évidence, semble vouloir concurrencer les quelques roses du parterre. je suis vraiment désolé...mais faut regarder aussi... son regard glisse jusqu'à l'écran, illisible à présent. ce constat l'oblige à ravaler ses paroles dans un soupire. oublie ce que je viens de dire....je...c'est si pire que ça ?
quelle question.

ton regard se pose un peu plus loin, sur ce qu'il ressemble à un altercation entre deux jeunes gens, et impliquant un téléphone portable. tu fronces un peu les sourcils, glissant tes mains dans les poches de ta veste pour palier à la fraîcheur encore bien présente en ces temps.
tu retiens un léger soupir, tournant la tête en entendant une voix familière non loin, ton regard tombant sur rose, une de tes voisines. tu esquisses un sourire en sa direction. bonjour marcus ! alors, qu'est-ce qu'il se passe par là ? bonjour rose. tu souffles en la laissant arriver à tes côtés. je dirais que le brun est rentré dans la rousse, et que le portable de cette dernière a terminé au sol. tu hausses un peu les épaules, pas certain de toi.
ces jeunes et leurs manies de tout prendre en photo et de ne profiter de rien. tu soupires. il suffit de regarder la foule d'un concert. tout le monde sur son téléphone à filmer, pour des vidéos de qualités moyennes avec un son souvent ignoble. au lieu de profiter de l'instant présent et de créer des souvenirs. c'est bien dommage si tu veux mon avis. tu ajoutes simplement. il ne s'agit que de ton point de vue, après tout. tu hausses une nouvelle fois les épaules.
tu te décales un peu en voyant quelqu'un arriver,
mais ce n'est visiblement pas suffisant puisque cette personne te rentre à moitié dedans, son épaule bousculant la tienne. tu lèves les yeux au ciel. vous pourriez vous excuser. que tu lâches simplement, tes paroles se perdant sans doute. un soupir t'échappe.

|| si jamais quelqu'un veut se joindre à la discussion ou juste interagir

Elle qui passait passer un bon moment, à faire des emplettes, se balader tout en respirant la bonne odeur de toutes ses fleurs aux senteurs parfaites. Elle adorait prendre des photos, tel était sa génération. Ce n'était pas pour autant qu'elle ne profitait pas des moments, comme pouvait le signaler deux personnes plus loin, dont elle entendit bien sur le commentaire qui l'agaça parfaitement. Pour l'heure, elle voyait surtout que son appareil était détruit et qu'elle était financièrement pas du tout dans une bonne posture. Un profond soupire s'échappe d'entres ses lèvres, essayant de faire fonctionner un semblant de son smartphone, mais qui semblait bien être définitivement parti au paradis des smartphones éclatés au sol. Son regard se pose alors sur le jeune homme (@Naofel Hadad) qui lui parla et qui était donc la cause de son problème, n'appréciant pas vraiment sa première remarque.
« Ouais fin j'étais pas en plein milieu à faire de grands gestes hein.» Elle l'a un peu mauvaise, la rousse. Elle n'est pourtant pas quelqu'un qui cherche la petite bête, mais là clairement, elle était dégoûté. Elle range son smartphone dans son sac, avant de lui répondre :
« Oui, il est foutu, du moins l'écran. Merci, j'avais pas forcément d'argent à mettre pour un nouveau téléphone...» Tu secoues légèrement la tête entendant la remarque de @Marcus Beauchamps, qui la fait légèrement tourner la tête dans sa direction, le fusillant du regard. Calme Juliette, calme. T'es pas là pour te faire des ennemis ou t'embrouiller avec des adultes ou des destructeur de téléphone. Même si c'était pas l'envie qui lui manquait...

Tout était prétexte à ne pas passer de temps à la maison, même lorsque tu prenais un jour de congé. Joshua ne te verrait donc pas de la journée, encore. Et puis, d'un autre côté, tu voulais te rattraper pour l'autre soir. T'avais manqué le repas alors, à défaut de te mettre derrière les fourneaux, tu rapporterais un joli bouquet de fleurs, pour autant que tu trouves ton bonheur. Tu flânais au beau milieu de la foule lorsque tu vis un petit garçon en pleurs. Son chagrin te déchirais et personne ne semblait y prêter attention. Tu t'es avancée vers lui, te mettant à sa hauteur et lui demandant s'il avait perdu ses parents. Il te répondait en hochant la tête, trop occupé à pleurer. Tu lui a demandé son prénom. Arthur, qu'il t'avait répondu avant que toi-même, tu ne lui donnes le tiens. « Ne t'en fais pas. » Tu lui dis avant de sécher une larme qui coulait sur sa joue. « On va retrouver ton papa ensemble. »

Vous vous êtes mis sur le côté. Tu lui as demandé son âge et ce qu'il aimait bien afin d'essayer de le calmer quelque peu. Et lorsque les larmes ont arrêté de couler sur ses petites joues, vous avez entrepris de rebrousser chemin afin de partir à la rencontre de son papa, Loevan. Tu lui tenais la main afin de ne pas le perdre, remontant le marché aux fleurs à la recherche du disparu. Tu avais beau regarder partout, tu ne savais même pas qui tu cherchais. Tu ne pouvais donc que compter sur Arthur pour qu'il le repère seul. Quand soudain, tu sens que le garçon cherche à se détacher de toi et tu comprends alors que son papa est tout proche et que le petit garçon oubliera bien rapidement cette mauvaise expérience.
@Loevan Desrosiers

tu t'es décidée à sortir de cette grotte que tu squatter actuellement. t'as encore changé d'appart, ula. tu ne comptes désormais plus les fois où tu refais ton sac et où tu vas squatter le canapé de quelqu'un d'autre. mais aujourd'hui, t'as envie de faire autre chose et d'oublier tes problèmes. paraît qu'y a un marché aux fleurs. les fleurs ... t'as toujours aimé ça. ça sent bon. c'est coloré. et surtout ça embellit ton quotidien. clairement. en plus, les températures ont enfin commencé à augmenter. alors c'est l'occasion idéal pour pointer ton petit nez de mexicaine à l'extérieur. même si tu vas quand même bien t'emmitoufler et ressembler au bonhomme michelin. tu laisses donc un mot à la personne qui te permet d'utiliser son canapé, la prévenant que tu vas voir ce que ça vaut et que tu reviendras en fin de journée. t'es habillée simplement, avec notamment un manteau ample camel et un sweat à capuche blanc. tu le sais pas encore mais c'est peut-être la tenue idéale ...

t'es arrivée rapidement à ce fameux marché aux fleurs. et déjà ton nez se remplit de toutes les bonnes odeurs du lieu. il y a quelques endroits d'où proviennent des odeurs de bouffe et t'as envie de succomber. il y a les fleurs aussi, obviously. y'a aussi tout un tas de couleurs. notamment provenant de jets de poussières colorées. tu trouves ça original. ça change. tu regardes des gamins s'amuser avec jusqu'au moment où tu finis par t'en prendre dessus. non pas une mais bel et bien deux fois. et ton pull blanc se retrouve désormais avec les couleurs de l'arc-en-ciel ou tout du moins deux d'entre elles. t'es un peu ... pissed off mais t'es joueuse et t'as envie de participer. tu lances donc à la personne : t'as trouvé ça où? histoire que je puisse prendre ma revanche! y'a pas de raison que tu te retrouves seule en mode multicolore. t'attends la réponse et tu te diriges vers un stand un peu plus loin. tu t'apprêtes à payer la poche quand tu vois à proximité un membre de ta famille. loevan? (@loevan desrosiers) tu lâches, avant de regarder et de vir arthur, qui se tient pas loin d'une dame. euh ... elle ne ressemble pas à la femme de ton cousin. étrange étrange ... tout va bien?, te permets-tu de demander d'un ton un peu inquiet. weird weird weird.

tu tournes la tête vers rose un instant, écoutant ses paroles et confirmant le tout d'un léger mouvement de tête. vous semblez être sur la même longueur d'onde sur le sujet des téléphones portables. les jeunes, quoi. tu souffles avec un petit sourire face à ta voisine, haussant un peu les épaules. ton regard se porte une nouvelle fois sur les deux jeunes, et tu fronces un peu les sourcils face au regard de la rousse.
tu es pourtant rapidement distrait,
quand un inconnu (ou pas tant que ça) vient t'exploser l'épaule.
tu fronces un peu les sourcils, reconnaissant par la suite loevan, un collègue à l'université. t'es maintenant son boss, mais tu t'en fiches bien. ce n'est rien, loevan. tu souffles doucement, lançant un regard autour de toi. ton âme de père tremble légèrement, et tu comprends sa panique soudaine. t'es un papa poule après tout. rose semble impliquée également, une main sur son ventre. tu tiques un peu, mais reste silencieux.
aller, panique pas, ça va aller. tu souffles face à ton cadet. il est habillé comment aujourd'hui ? tu demandes face au brun, observant autour de toi un instant. une jeune femme s'approche finalement du professeur d'histoire, et tu observes tout ce petit monde un instant.

@rose grant @loevan desrosiers @ula meiwhana

Les fleurs. Tu as toujours aimée. Tu as toujours adorée. Quand bien même tu ne possède pas le talent ou la patience nécessaire afin d’en cultiver chez toi, ce n’est pas pour autant que tu n’aimes pas. Bien au contraire. Le pouvoir, tu aurais différents plants à l’intérieur de ton appartement. Cependant, si tu ose investir une somme d’argent pour une plante, une fleur ou peu importe, elle se retrouve morte dans les jours qui suivent. Soit tu oublie de lui donner de l’eau. Soit elle n’obtient pas suffisamment de lumière. Soit elle refuse simplement de poursuivre sa vie en ta compagnie. En réalité, tu ignores la raison. Mais, aucune n’a survécu plus de quelques jours. Alors, tu as abandonnée l’idée de décorer ton antre personnel de jolie et ravissante fleurs. Au-lieu de cela, tu te contente de les admirer lorsque l’occasion se présente. Parfois, tu achète un petit bouquet que tu installe sur la table de cuisine, décorant ainsi les lieux. Disons que c’est une manière comme une autre pour toi de t’occuper, de te distraire. Tu as besoin de penser à autre chose. Tu as besoin de cesser les longues heures de réflexion. Ce qui s’avère être bien plus complexe, bien plus ardu que tu ne l’aurais cru au départ. Le temps s’écoule bien trop vite pour toi. Tu n’as pas encore pris de décision concernant l’avenir de ce bébé. Tu n’as toujours pas de nouvelle de Camille et de ces volontés en lien avec ce petit être. Tu ignores même le sexe de ce dernier. L’enveloppe, tu l’as toujours. Elle contient les photos de ta dernière échographie. La dernière fois que tu as rendue visite à ton ancien petit ami, tu espérais pouvoir les lui montrer et discuter avec lui. Malheureusement, la situation est rapidement devenue hors de contrôle. Son fort caractère a pris le dessus. Et toi, tu n’as pas pu rester là une seconde supplémentaire. Tu as pris la fuite, de nouveau. Incapable de le confronter. Incapable de le résonner. Il disait toutes ces choses horribles, méchantes. Toi, tu es restée sans mot. Tu n’ose même pas en parler de cette rencontre. Tu te contente de dire qu’il refuse de t’adresser la parole. Qu’il refuse de répondre à tes appels ou messages concernant son avis sur la grossesse. Après tout, il reste le père de cet enfant. Chose qu’il semble oublié un peu plus chaque jour. Alors, tu dois poursuivre seule. Telle la femme forte et indépendante que tu es devenue au fils des ans. Peut-être est-ce pour cette raison que tu profite de ce festival des fleurs, que tu sors et admire toutes les différentes couleurs qui s’offre à ton regard. Tu es charmée, tu es conquise. Au point que tu ne regarde plus vraiment ce qui se trouve devant toi. Tu heurtes quelqu’un. Aussitôt, tu te retourne et pose ton regard sur cet(te) inconnu(e). “Pardonnez-moi, je suis bien trop distraite.” Commences-tu à dire, cherchant une manière de t’excuser auprès de cette personne. L’une de tes mains se pose contre ton ventre et l’autre replace une mèche de cheveux. “J’espère que je ne vous est pas fait mal?” Demandes-tu, inquiète. Ce n’est pas dans tes habitudes d’être aussi distraite, d’être aussi occupée à l’intérieur de ton esprit. En temps normal, tu accordes bien plus d’importance au moment présent, à ce qui t’entoure. Au-lieu des douloureux souvenirs qui hante ton esprit…

Spoiler:

t’es où? tapotait le garçon sur son téléphone et l’envoyait à son ado de frère, âgé tout juste de quinze ans. Perdu dans le marché, Woody se demandait bien ce qu’il foutait la, parce que faut l’avouer les fleurs, c’est pas trop son truc. En fait, son frère l’avait tanné pour qu’il l’amene ici, et c’est seulement en arrivant que l’aîné des Doherty a comprit pourquoi : son frère voulait rejoindre des amis et surtout une fille. C’est exactement la raison pour laquelle Wood se retrouve seul dans ce marché, sans même savoir où son frère se trouve. Bon, pas qu’il soit inquiet parce que son frère est quand même intelligent mais, en réalité c’est surtout parce qu’il se fait chier, là, tout de suite. Perché sur son téléphone, Woody reçoit rapidement un message mais, pas de son frère. De Benjamin, son tatoueur et accessoirement associé officieux, il lui demande d’aller vérifier une adresse des qu’il peut. En gros, d’aller tâter le terrain avant le prochain cambriolage. Parfois, Wood se dit que ces familles ne méritent pas ça.. puis, il finit par se dire que sa famille ne méritait pas ça non plus, et qu’ils ont besoin que quelqu’un fasse quelque chose : et seul Woody peut le faire. Soupirant, il réponds seulement un ok au message de son tatoueur mais, complètement absorbé par ses pensees, il ne fait pas attention à la personne qui arrive droit sur lui puisqu’elle aussi, ne l’à pas vu. Choc, téléphone au sol, Woody se jette dessus pour s’assurer qu’il ne soit pas cassé. dieu merci, t’es vivant ! lançait le garçon en retournant le téléphone pour regarder l’écran intact. Il finit par lever ses yeux vers la personne avec qui il a cogné, levant les mains en l’air. tout va bien, vous en faites pas ! rassurait Woody en souriant alors qu’il voyait la jeune femme se tenir le ventre. et vous, ça va ?! ajoutait Woody en fronçant les sourcils, espérant qu’elle n’est rien de grave.

Spoiler: