AMBROS BRYNE - Time of growing

AmbrosBryne

feat Shawn Mendes

naissance : 20 avril 2001, l'aube qui ne voulait pas se lever, les cris de sa mère qui déchiraient la salle de travail... Il a mis du temps à venir, à décider de pointer le bout de son nez dans cette Irlande qui coulait déjà dans ses veines, mais il a fini par émerger et révéler son existence à une famille réunie au complet. Une famille qui serait toujours là. Il en est le dernier maillon, héritier tardif du nom des Bryne.

origines, nationalités : c'est l'Irlande qui vibre en lui et qui vibrera toujours : ses 'r' roulés, cet accent empêtré de son sourire et cette façon d'espérer le meilleur tout en concevant le pire. Il n'est pas curieux, il n'est jamais allé chercher plus loin que le bout de ces racines : il se sait irlandais, pense irlandais et respire irlandais. Le reste importe peu.

statut civil, orientation : A 18 ans, on a la vie devant soi. On peut encore rêver, espérer et se dire que tout sera permis... plus tard. Peut-être pas maintenant, mais plus tard, c'est certain. Alors il est encore dans l'expectative et l'espoir, la tête immature et le coeur qui s'éveille à peine mais ne sait pas encore vibrer pour quelqu'un en particulier. Il a le temps. Pour autant, il n'est pas réservé ou naïf, le petit Ambros : il croque la vie à pleines dents, vole des baisers furtifs aux demoiselles et lance des oeillades amusées aux garçons qui lorgneraient un peu trop sur son minois : il est ainsi, il veut en profiter, sachant qu'il n'arrivera jamais à s'en écoeurer. Célibataire donc, par la force des choses et surtout à cause de cet amour de la vie qui le pousse à l'aventure plutôt qu'à se caser pour toujours. Bisexuel, peut-être, sans savoir, pour ne pas se fermer de portes.
Et peut-être, quelque part, un peu méfiant de cet amour qui vous pousse à épouser une femme et à la quitter 15 ans après....

situation financière : €€€, il a ce bonheur immense - et insoupçonné - de ne pas avoir de factures dans sa boîte aux lettres ni de rappels de quittances sur sa boîte mail. Il vit encore aux crochets de ses parents, gamin qui sort de l'enfance, adolescent qui se découvre adulte. Il ne sait pas vraiment ce que c'est que de devoir payer un loyer et s'inquiéter du caddy à remplir : pour autant, il n'est pas naïf au point d'avoir occulté que la vie a un coût. Mais cela n'occupe pas toutes ses pensées comme cela arrive si souvent aux adultes. Il vit encore sa vie de gamin sans trop se soucier du reste. Et pour les à-côtés, il travaille comme caissier dans un supermarché tous les étés depuis trois ans maintenant : ça paie les petits extras qu'il n'oserait pas demander à ses parents.

occupation : Lycéen pour cette dernière année, déjà préoccupé par la suite de l'aventure. Il a redoublé une année scolaire après avoir été percuté par une voiture à 8 ans : l'accident n'avait laissé aucune séquelle mais il avait dû passer deux mois alité et plusieurs autres en rééducation, ce qui lui a quasiment fait sauter une année entière. Il a hâte désormais de passer cette étape et de prendre son envol, que ce soit à l'université ou autre part. Il n'est pas non plus un chevronné à l'école et ses notes se maintiennent à flot, mais sans faire d'éclat non plus : c'est l'élève moyen, plus occupé à s'amuser avec ses amis qu'à réviser pour préparer son avenir. Mais il a le chic pour se faire pardonner de cette immaturité-là.

régime alimentaire : comme tout adolescent, Ambros a eu sa période "gargantua", à avaler tout et n'importe quoi, pourvu que cela comble le trou qu'il avait à la place de l'estomac. Sa famille avait fini par surnommer cela "le trou noir" et pour autant, il n'a jamais pris un gramme quoiqu'il avale, comme si son sourire était capable de dépenser toutes les calories ingurgitées. Il se calme seulement depuis un an et continue à manger de tout, avec une préférence pour la malbouffe et les snacks un peu trop gras. Il aura bien le temps plus tard de s'inquiéter de son cholestérol !

allergies : Aucune, et ce n'est pas faute d'avoir essayé de goûter à un peu de tout ! Mais Ambros a cette chance folle de n'avoir jamais été allergique, qu'il s'agisse d'alimentation, de médicaments ou de contacts avec des corps étrangers.

addictions : Il s'est interdit très tôt le tabac : l'odeur l'incommodait et l'incommode toujours, et il s'est dit qu'au final, les bénéfices retirés ne valaient sans doute pas les inconvénients engendrés par une telle addiction. La drogue, il n'y pense même pas, hors de question de perdre le contrôle. L'alcool ? Il n'a que 18 ans, ça évoque l'amusement et les fêtes tardives, alors il y goûte de temps en temps, s'est déjà pris une bonne cuite ou deux, mais il s'est déjà posé certaines limites.
Non, sa seule addiction, si on peut l'appeler ainsi, ce serait celle de se perdre dans le son des concerts, des boîtes de nuit et des clubs où on le laisse entrer : faire la fête, se perdre dans l'ambiance et tenter de tout oublier... Ses soucis, ses incompréhensions et ce pincement au coeur chaque fois qu'il rentre chez lui et qu'il sait que son père ne sera pas là le soir. Il est encore trop jeune pour en avoir abusé, évidemment, mais il cherche de plus en plus à s'échapper, à courir vers ces îlots de perdition depuis un an.

à dublin depuis : depuis toujours. C'est un gamin de la ville, un de ceux qui savent où il faut traîner le soir pour se faire des amis, qui connaît les commerçants de son quartier par leur prénom et qui ont étendu leur famille de coeur aux voisins, commerçants et même policiers du commissariat de zone. Il est chez lui et n'en bougera pour rien au monde : il n'a pas l'aventure chevillée au corps et espère bien pouvoir continuer à vivre à Dublin.

Voodoo
intemporelle
France
connu via facebook
pré-lien de @Timaé Bryne

one two

Chaleureux : c'est une boule de vie, d'énergie et un véritable sourire du pattes. Peu de gens résistent d'ailleurs à cette joie communicative.
Insouciant : plus un défaut qu'une qualité dans son cas. Il a tendance à se moquer de tout et de rien, de vivre du temps présent sans trop se soucier de l'avenir.
Immature : terriblement ! Pour autant, ce n'est pas un idiot naïf, mais il a cette tendance à préférer jouer au gamin plutôt que d'affronter les coups durs de la vie.
Déboussolé : ses parents ont toujours été son repère dans la vie, et depuis un an, il ne sait plus trop à qui se fier, quoi penser et quelle leçon en retirer. Les questions le perturbent et sèment la zizanie dans sa vie.
Taquin : il aime rire et plaisanter. Ses amis ont déjà pâti de ses blagues parfois un peu nulles, qu'il réitère pourtant avec le sourire.
Charmeur : ce sourire, c'est une arme pour amadouer le monde et les mener par le bout du nez, et il en a conscience. Tout comme il sait qu'il plaît aux filles, qu'il attire le regard des garçons. Il le sait sans trop savoir encore comment l'utiliser, mais il tente, il s'essaye à des flirts sans conséquence et cela lui plaît. Dès qu'il aura pleinement conscience de son potentiel, il risque de faire des ravages ! A moins que quelqu'un n'arrive à lui mettre le grappin dessus avant...
Couard : dans le fond, cette vie d'adulte qui se profile l'effraye un peu et il n'a pas envie de s'y plonger vraiment. Il avance d'un pas pour reculer de deux : ce n'est pas un grand courageux. Il n'ose même pas poser les questions qu'il faudrait à son père, peut-être par peur de certaines réponses.

Quel est votre comportement face aux obstacles de la vie ? Rencontrez-vous actuellement des difficultés ?

Ambros a choisi la stratégie du sourire pour contre-attaquer les coups durs de la vie. Cet accident d'abord à 8 ans, accompagné de ces mois de rééducation et d'absence scolaire, isolé chez lui et coincé dans son corps : il souriait à sa mère, riait avec son père, tentait de calmer les angoisses sourdes des adultes qui l'entouraient pour ne pas avoir à s'inquiéter à son tour. Parce que c'était à eux de gérer et qu'il se sentait démuni quand il voyait sa mère dissimuler ses larmes. Les aléas d'une vie de famille en dent de scie, avec un père souvent absent et une mère qui avait des doutes, qui parfois laissait éclater son désespoir et ses colères : lui sourire pour la remettre d'aplomb, pour être le bon gamin sur lequel elle pouvait compter, son rayon de soleil à elle. Sourire enfin quand ils ont annoncé qu'ils divorçaient, brisant à tout jamais l'espoir de réparer ce qui avait été défait durant toutes ces années... Sourire pour cacher le fait qu'au fond de lui, tout cela le terrifie, et empêcher les autres de s'inquiéter pour lui.

(un) Deuxième enfant d'une famille aimante, Ambros ne pense pas avoir jamais manqué de rien. Ses parents l'adoraient et il grandit comme tous les petits derniers : un peu trop couvé sans doute, choyé et aimé, peut-être un peu pourri gâté aussi, même s'il n'en a jamais abusé. Ambros a toujours été un bon gamin, qui connaissait ses limites et les respectait : les caprices n'ont pas fait long feu chez lui et il a toujours eu un caractère aimable et chaleureux, se mettant d'instinct tout le monde dans la poche. (deux) Papa n'était pas souvent là, il faut l'avouer, mais ça n'empêchait pas ses gosses de l'adorer et de préparer la fête des pères des semaines avant pour être sûrs que tout soit parfait le jour J. Et si Maman soupirait souvent, si elle avait ces froncements de sourcils quand elle regardait l'horloge au mur et quelques élans colériques passagers quand elle se rendait compte qu'encore une fois, elle allait devoir se charger seule des choses, elle a toujours su ne pas en faire souffrir ses enfants. Les gamins Bryne ont toujours été protégés. (trois) La famille est grande : véritable petit nid où Ambros et Neal ont grandi, protégés et choyés. Trois oncles souvent présents, un père fou d'eux et une mère aimante. Sans parler de cette grand-mère qu'ils adorent tous. Les noëls ont sans doute été les meilleurs moments de la vie d'Ambros, quand toute la famille était réunie autour d'une même table. (quatre) Neal a été l'aîné, celui qui préparait le chemin pour son petit frère à venir. Il a tout vécu avant, comme un grand, et Ambros l'a toujours admiré au fond de lui, secrètement soulagé d'avoir quelqu'un qui lui expliquait les règles et l'aidait à y voir plus clair. C'est Neal qui lui a dit comment cela se passait à l'école et l'a rassuré, Neal qui lui a expliqué les règles du lycée, montré les bus à prendre pour ne pas se perdre, qui surveillait s'il avait bien tout mis dans sa valide des vacances. Sans Neal, Ambros aurait eu du mal à ne pas se perdre dans cette vie parfois si difficile à cerner. (cinq) Le gamin a toujours été l'insouciance même : il se trompait de pied pour ses chaussures, il oubliait d'arrêter le réveil pendant les vacances, laissait les lumières allumées le soir derrière lui... Il ne regardait pas beaucoup avant de traverser. Ce qui lui a valu une rencontre brutale avec une voiture qui n'avait pas pu freiner à temps, et la plus belle frayeur de leur vie à ses parents. Il a été emmené en urgence, son père y travaillait ce soir-là (comme tous les soirs d'ailleurs) : il ne garde qu'un souvenir flou de cette nuit-là... Il n'avait que 8 ans, c'est tôt pour comprendre qu'on est passé à côté de la mort. Trop tôt sans doute. Il est resté quatre jours dans le coma, et plusieurs fractures l'ont obligé à rester alité pendant deux mois. Les mois suivants de rééducation ont été durs, mais le gamin s'est obligé à garder le sourire pour ne plus croiser le regard inquiet de sa mère, ou cette lueur étrange dans les yeux de son père quand parfois il regardait ses plâtres... Une lueur effrayée, terrifiée. Il sait qu'il a eu très chaud ce soir-là, et il sait que cela a marqué ses parents de manière indélébile. (six) Il a été encore plus choyé et couvé après cet accident - qui lui a valu d'ailleurs de redoubler son année scolaire, étant donné qu'il avait passé plus de temps chez lui que sur les bancs de l'école. Sa mère a même tenu à l'accompagner dès qu'il sortait de la maison durant les deux premiers mois de l'année scolaire suivante, à tel point qu'Ambros a dû se fâcher - une grande première pour lui - pour qu'elle le laisse un peu respirer. Quant à son père, il a noté qu'il rentrait plus tôt à la maison durant cette année de rééducation qu'il a passé, et le gamin a compris que si Timaé était souvent absent, il serait pourtant toujours là quand il aurait besoin de lui. Cela a renforcé leur relation et encore aujourd'hui, son père reste un des piliers essentiels de sa vie. (sept) Mais son père avait beau les aimer tous deux très fort, ça n'a apparemment pas suffit à le retenir. Un soir, l'annonce est tombée : papa et maman au dîner, leurs mines inquiètes, le petit sourire doux-amer de maman qui essayait de rassurer ses enfants, l'étreinte de papa alors qu'il assurait que cela ne changeait rien, qu'ils ne divorçaient pas à cause d'eux, mais parce que comme tous les adultes, ils avaient compris quelque chose et avaient décidé que cela chamboulerait leur vie. Neal a très mal réagi, et Ambros... Pour Ambros, ça a été un coup de massue assez terrible, parce que le conte de fée de "ils vécurent heureux pour toujours et s'aimèrent à la folie" venait de se briser en mille morceaux. Plus de conte de fée, plus d'amour, plus d'espoir. Il lui a fallu beaucoup de temps pour s'en remettre. (huit) A la différence de Neal qui en a voulu à Timaé, Ambros a essayé de rester positif, de voir le bon côté des choses et de ne pas baisser les bras. Mais en contrepartie, afin d'évacuer ce trop-plein d'émotions qui tourbillonnaient en lui et qu'il essayait de retenir pour ne pas aggraver une situation déjà tendue, il s'est mis à sortir un peu plus que d'habitude. Papa n'était plus là le soir pour vérifier qu'il rentrait, et Maman... Maman avait d'autres soucis à gérer, sans doute. Les amis du lycéen l'invitaient à sortir, Ambros s'y jetait tête baissée : c'est devenu une habitude, le besoin de sortir et s'aérer la tête. Un peu trop sans doute, il en a conscience mais n'arrive pas à s'arrêter. C'est le seul moment où il peut exploser sans que personne ne le remarque. (neuf) Les notes ont chuté. Sensiblement. Pas de manière catastrophique, mais la baisse de régime est là. Il répond aux questions de sa mère par un sourire entourloupeur, et aux froncements de sourcils de son père par un rire, avant de bondir sur son portable pour savoir où aura lieu la prochaine fête. Parce que personne ne lui demandera aucun compte là-bas. Même s'il boit trop, même s'il se laisse aller à fumer quelques joints avec des amis plus délurés que lui.... (dix) L'amour, au final ? Il sait que ses parents l'aiment, il sait qu'il pourra toujours compter sur ses oncles, et que Neal sera son éternel pilier. Mais l'amour, l'autre, celui des contes de fée, celui qu'on vous promet depuis que vous êtes gosse ? Celui-là, Ambros n'y croit plus vraiment. Il flirte, il sait jouer et draguer : mais ce n'est pas vraiment de l'amour, ça. Ca n'est qu'un jeu. L'Amour, le vrai ? Il faudra sans doute attendre le chant d'une sirène pour qu'il se remette à rêver...

bienvenuuuue AMBROS BRYNE - Time of growing 833351623

bonne chance pour ta fiche AMBROS BRYNE - Time of growing 2764461844

16/08/2019

Après les Lyon, voici les Bryne qui se multiplient! AMBROS BRYNE - Time of growing 4085137093

Bienvenue par ici beau gosse et bon courage pour ta fiche! AMBROS BRYNE - Time of growing 778944683

Encore un Bryne, ça pullule de belles trognes AMBROS BRYNE - Time of growing 4049779993

Bienvenue sur BOD, j'espère que tu te plairas ici AMBROS BRYNE - Time of growing 4114835183

Je te réserve Shawn pour cinq jours, hésite pas en cas de besoin AMBROS BRYNE - Time of growing 733971127

Pense à ajouter ton avatar dans la description du sujet.

J'y vais de ce pas !

Merci à vous toutes pour l'accueil AMBROS BRYNE - Time of growing 778944683

bienvenue au neveu AMBROS BRYNE - Time of growing 1273147785

t'es digne de ton père dit donc, qu'est-ce que t'es beau !

Merciiiiiiiiiii, mais j'ai aussi hérité du tonton !!! AMBROS BRYNE - Time of growing 3884507175

La famille va faire des ravages sur le forum lol

Shawn, cette famille, cette fiche qui se remplit, ça fait plaisir à voir. Bienvenue ici, amuse-toi bien sur BOD. AMBROS BRYNE - Time of growing 2764461844

Héhé, j'ai failli craquer pour un Desmond à l'origine tellement la famille me semblait attractive ! Mais la possibilité de jouer Shawn pour une fois a fait pencher la balance.
Merci à toi et au plaisir de se croiser en jeu !